La constante macabre ou comment a-t-on découragé des générations d'élèves ?

« ... La collusion trop fréquente entre éducation et sélection, stigmatisée par André Antibi, cause de réels ravages... »
Hubert Curien Ancien Ministre de la Recherche

Un terrible constat : Imaginons un professeur excellent, avec des élèves excellents. Si dans un tel contexte toutes les notes sont bonnes. L'enseignant est montré du doigt et considéré comme laxiste, voire peu sérieux. Ainsi, sous la pression de la société, les enseignants se sentent obligés inconsciemment de mettre une certaine proportion de mauvaises notes, une « constante macabre », pour être crédibles.

C'est ce redoutable phénomène qu'André Antibi analyse finement et dénonce vigoureusement dans ce livre « grand public » très clair, facile et agréable à lire.

Des solutions rapides à mettre en place, simples et motivantes, sont proposées. Elles sont en vigueur dans certains pays où, contrairement au nôtre, les élèves sont encouragés et prennent confiance en eux.

Depuis sa parution en octobre 2003, ce livre suscite un intérêt médiatique sans précédent en France mais aussi à l'étranger. Notamment en Espagne et au Pérou. Il est soutenu par de très nombreuses personnalités de renom et par d'importantes associations de parents d'élèves et d'enseignants. Ces réactions permettent d'espérer qu'un changement salutaire pourra avoir lieu très prochainement.

Un deuxième livre du même auteur, « Les notes, la fin du cauchemar », fait état des développements très encourageants de ce combat mené en relation avec le ministère de l'éducation nationale.

« Le combat d'André Antibi ne concerne pas seulement le devenir des mathématiques à l'école, mais l'ensemble de nos enseignements en France... »
Recteur Philippe Joutard

« Pour citer un excellent auteur québécois, une manière infaillible d'identifier les bons nageurs, c'est d'organiser un naufrage... »
André Legrand Ancien Directeur des Lycées

« ... André s'attaque à une montagne, que dis-je, à l'Everest de l'establishment et du conformisme. Vas-y André, on joue tous dans ton équipe. »
Jean-Pierre Rives Sculpteur, ancien international de rugby