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Idéal pour l’offrir. Couverture, dos, coins et pages intérieures peuvent avoir des défauts minimes. Jaquette d'origine présente.
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Très bon état
Idéal pour l’offrir. Livre en excellent état comportant des petits défauts sur la couverture, dos, coins et pages intérieures.
La jaquette peut être manquante. Aucune note, marque, inscription ou annotation manuscrite sur les pages de lecture.
Il peut y avoir une dédicace ou le nom d'un précédent propriétaire sur la page de garde.
Bon état
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Couverture, dos, coins et pages intérieures peuvent être endommagés (Par exemple : coins frottés, légères marques d'usure).
Il peut y avoir des passages soulignés et quelques notes en marge sans nuire à la lecture du texte. Il peut y avoir une dédicace ou le nom d'un précédent propriétaire sur la page de garde.
Les pages du livre peuvent être jaunies.
Acceptable
Idéal pour les livres que vous emmenez partout avec vous (vacances à la plage, à la montagne, etc).
Couverture, dos, coins et pages intérieures comportant des défauts visibles, souvent prononcés, ne nuisant pas à la lecture.
Il peut y avoir des passages soulignés et quelques notes en marge sans nuire à la lecture du texte.
Il peut y avoir une dédicace ou le nom d'un précédent propriétaire sur la page de garde. Les pages du livre peuvent être jaunies.
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étiqueté car c’est un ancien support de bibliothèque. Nous travaillons en effet avec des bibliothèques éco-responsables qui nous
confient les livres sortis de leur inventaire plutôt que de les jeter. Plus solides, et porteurs d’une belle histoire, il n’y a aucune raison de ne pas les aimer !
Résumé
TRANSPARENCE DU MONDE?>Un orphelinat de têtes suit le bourreau, lorsqu'il se promène, le dimanche, sur la grand-route.Juchées sur des jambes minuscules, elles sont une vingtaine vêtues du même rouge, les regards identiques, à prononcer des paroles sans fondement.Le bourreau veille jalousement sur elles. Sitôt une voiture en vue, son cœur se serre. Il élève la voix, tape dans ses mains, les fait ranger sur les bas-côtés. La voiture passe, et l'orphelinat se regroupe, pareil à tous les orphelinats de la terre.Ils parviennent à l'orée d'un bois. Le bourreau s'assoit sur un tronc d'arbre, tandis que les têtes s'ébattent autour de lui. Elles savent que sous sa protection elles n'ont plus rien à craindre. Un lien d'éternité les unit. Il les aime jusqu'à la dernière goutte de leur sang.Parfois, il en attire une en cachette et la baise passionnément sur la bouche. Peut-être est-ce là son plus grand crime ? Ah ! il ne cherche plus à savoir, à comprendre ! Toutes les convenances sont décapitées. L'heure l'enveloppe, aussi légère qu'un duvet d'oiseau. Une feuille tombe, et blesse ce monde de transparence.?>MÉPRISES?>Ma concierge déteste les Mongols. Chaque fois qu'elle en découvre un, elle s'arrange pour le faire venir dans sa loge, et couic ! avec son cordon, l'étrangle honnêtement.Les locataires ferment les yeux. Se mettre mal avec sa concierge présente de réels dangers... Jamais elle ne monte le courrier. Madame fouette d'autres chats !Pour ma part, je n'ose plus pénétrer chez elle : ça sent trop le Mongol. Je fais expédier mon courrier ailleurs.Un soir pourtant, elle m'interpella au passage :– J'ai une lettre pour vous, monsieur Benoît ! (et une lueur de triomphe passa dans ses yeux obliques). Vous êtes bien monsieur Benoît, n'est-ce pas ?Depuis quinze ans que nous habitions la même maison, cette question me laissa rêveur.– Entrez, entrez, monsieur Benoît... je ne sais plus où je l'ai mise cette lettre... asseyez-vous... on va bien finir par la retrouver, que diable !Elle m'avança une chaise.– Asseyez-vous, monsieur Benoît... Voyons, où peut être la lettre de monsieur Benoît ?... monsieur Benoît... Vous êtes bien monsieur Benoît, n'est-ce pas ?– Mais enfin, éclatai-je...Couic ! trop tard : j'étais déjà étranglé. Elle m'avait pris pour un Mongol !Quant à ce monsieur Benoît, jamais plus il n'a donné de ses nouvelles.?>NOCTURNE?>La lune tomba dans une cheminée. Chasseur dévoré de ténèbres, un homme dissimulé dans l'embrasure d'une porte attendait l'aventure, attendait le miracle de l'instant : une rencontre aux conséquences incalculables. « Du plus loin de mon sang, j'entendrai son pas sur le pavé ; elle sera belle et jeune comme un cri. Je lui dirai : Vous êtes belle, donnez-moi la main. Tels des princes, nous marcherons jusqu'à l'étoile verte qui brille au-delà de nos regards, et nous aurons beaucoup d'enfants : une assemblée de négrillons aux dents étincelantes. »Il entendit sonner son pas sur le pavé. L'inconnue passa à sa hauteur, sans même le remarquer. Elle était belle et jeune comme un cri. L'homme se prit à la suivre.– Gibier tendre, sœur naturelle, confia-t-il à la nuit.Elle, sentant cette ombre qui marchait sur ses traces, serra nerveusement son sac et accéléra son allure. De sorte qu'il fut presque obligé de courir pour l'atteindre.– Mademoiselle, s'écria-t-il, vous êtes en mon pouvoir. Ce long mur de fabrique ne répéterait rien d'un crime. Je connais tous les becs de gaz par leur nom, ils n'ouvriront pas la bouche. Personne à l'horizon. Aucune voile. Aucune fumée. Je vous fais prisonnière.Elle ne répondit point, continua de marcher un train d'enfer. L'homme de haleter :– Toile d'araignée, fleur de mathématique, ô ma tourterelle, ma respiration...Ce disant, il buta contre un caillou qui se mit à galoper devant eux, ventre à terre, et se perdit dans la fin des temps. Il reprit :– Mon caillou rose, mon astre, mon figuier...Longtemps ainsi, il la para des noms les plus secrets sans prendre garde qu'il avait dépassé les lieux déserts de la fabrique et, à la suite de l'inconnue, franchissait le seuil d'un poste de police.On dut le maintenir solidement entre deux agents lorsque son idole lui sourit et disparut à nouveau dans les ténèbres. Il déclina son nom, prénom, qualité et domicile, et remit aux autorités de l'heure son carnet de notes sur « L'Eden retrouvé en remontant les pas des générations ».Puis, le sommeil le prit ; il réclama un lit avec des draps blancs.– De beaux draps blancs, monsieur le commissaire.Le commissaire, rempli d'une sollicitude imprévue, coucha sur une page vierge de son registre cette âme d'une éblouissante pureté.?>LE BIENHEUREUX?>Immobile, assis sur la pierre de son minuscule balcon, monsieur Duvet se fond dans l'impersonnel.En dessous de lui, très bas, un klaxon d'automobile éveille toutes les figures de comédie. Monsieur Duvet n'entend rien. Il voyage sur le dos du nuage à tête d'éléphant. Lorsqu'il rencontre un méridien, il le touche du doigt, et le fait vibrer ainsi que la corde d'une harpe.En vain, sa femme (une irréparable erreur de jeunesse) répéte-t-elle pour la neuvième fois que le potage refroidit, le bienheureux voyage sur le dos du nuage en forme d'éternité.Il était à ce point dégagé des choses charnelles qu'il ne pouvait même plus souffrir la peau du lait.?>LE GRAND SOMMEIL?>Le médecin avait endormi la femme sur le point d'accoucher. L'enfant naquit en dormant. La mère continua de dormir. L'enfant continua de croître en dormant. Quelle importance ? Depuis longtemps le médecin lui-même et les infirmières dormaient.Dans les rues, des millions d'hommes dormaient debout. Des millions d'autres dormaient couchés, dormaient assis. Dormaient les yeux ouverts. Dormaient au volant de leur voiture, aux leviers de commande de leur vide.Des millions mouraient en dormant. Des assassins tuaient en dormant. Quelle importance ? Personne n'était responsable. Les objets aussi dormaient, n'ayant jamais connu un homme qui les signifiât.Guerres, fléaux gigantesques s'abattirent sur la terre. Des millions de machines entretuèrent des millions de machines. Effroyable collision de somnambules ! Des millions de machines croyaient aimer ou haïr.Des couples se mariaient, des prêtres officiaient en dormant. Des millions d'hommes parlaient, parlaient, en dormant. Etudiaient, lisaient, inventaient, tenaient des discours en dormant.Certains demandaient asile aux femmes, demandaient à rentrer dans leurs ventres ; oui, de retourner à l'origine afin d'oublier qu'ils avaient oublié, qu'ils avaient perdu la mémoire en naissant.Une telle épaisseur de sommeil engendre les monstres du siècle.?>LE ROI DU BOUFFON?>Oui, le roi était plus le roi du bouffon que le bouffon le bouffon du roi. Quel bouffon ! Quel roi ! Au vrai, il existait là un tel univers d'ambiguïtés, qu'il se montrait souvent difficile, sinon impossible, de savoir où le roi, où le bouffon.
TRANSPARENCE DU MONDE?>Un orphelinat de têtes suit le bourreau, lorsqu'il se promène, le dimanche, sur la grand-route.Juchées sur des jambes minuscules, elles sont une vingtaine vêtues du même rouge, les regards identiques, à prononcer des paroles sans fondement.Le bourreau veille jalousement sur elles. Sitôt une voiture en vue, son cœur se serre. Il élève la voix, tape dans ses mains, les fait ranger sur les bas-côtés. La voiture passe, et l'orphelinat se regroupe, pareil à tous les orphelinats de la terre.Ils parviennent à l'orée d'un bois. Le bourreau s'assoit sur un tronc d'arbre, tandis que les têtes s'ébattent autour de lui. Elles savent que sous sa protection elles n'ont plus rien à craindre. Un lien d'éternité les unit. Il les aime jusqu'à la dernière goutte de leur sang.Parfois, il en attire une en cachette et la baise passionnément sur la bouche. Peut-être est-ce là son plus grand crime ? Ah ! il ne cherche plus à savoir, à comprendre ! Toutes les convenances sont décapitées. L'heure l'enveloppe, aussi légère qu'un duvet d'oiseau. Une feuille tombe, et blesse ce monde de transparence.?>MÉPRISES?>Ma concierge déteste les Mongols. Chaque fois qu'elle en découvre un, elle s'arrange pour le faire venir dans sa loge, et couic ! avec son cordon, l'étrangle honnêtement.Les locataires ferment les yeux. Se mettre mal avec sa concierge présente de réels dangers... Jamais elle ne monte le courrier. Madame fouette d'autres chats !Pour ma part, je n'ose plus pénétrer chez elle : ça sent trop le Mongol. Je fais expédier mon courrier ailleurs.Un soir pourtant, elle m'interpella au passage :– J'ai une lettre pour vous, monsieur Benoît ! (et une lueur de triomphe passa dans ses yeux obliques). Vous êtes bien monsieur Benoît, n'est-ce pas ?Depuis quinze ans que nous habitions la même maison, cette question me laissa rêveur.– Entrez, entrez, monsieur Benoît... je ne sais plus où je l'ai mise cette lettre... asseyez-vous... on va bien finir par la retrouver, que diable !Elle m'avança une chaise.– Asseyez-vous, monsieur Benoît... Voyons, où peut être la lettre de monsieur Benoît ?... monsieur Benoît... Vous êtes bien monsieur Benoît, n'est-ce pas ?– Mais enfin, éclatai-je...Couic ! trop tard : j'étais déjà étranglé. Elle m'avait pris pour un Mongol !Quant à ce monsieur Benoît, jamais plus il n'a donné de ses nouvelles.?>NOCTURNE?>La lune tomba dans une cheminée. Chasseur dévoré de ténèbres, un homme dissimulé dans l'embrasure d'une porte attendait l'aventure, attendait le miracle de l'instant : une rencontre aux conséquences incalculables. « Du plus loin de mon sang, j'entendrai son pas sur le pavé ; elle sera belle et jeune comme un cri. Je lui dirai : Vous êtes belle, donnez-moi la main. Tels des princes, nous marcherons jusqu'à l'étoile verte qui brille au-delà de nos regards, et nous aurons beaucoup d'enfants : une assemblée de négrillons aux dents étincelantes. »Il entendit sonner son pas sur le pavé. L'inconnue passa à sa hauteur, sans même le remarquer. Elle était belle et jeune comme un cri. L'homme se prit à la suivre.– Gibier tendre, sœur naturelle, confia-t-il à la nuit.Elle, sentant cette ombre qui marchait sur ses traces, serra nerveusement son sac et accéléra son allure. De sorte qu'il fut presque obligé de courir pour l'atteindre.– Mademoiselle, s'écria-t-il, vous êtes en mon pouvoir. Ce long mur de fabrique ne répéterait rien d'un crime. Je connais tous les becs de gaz par leur nom, ils n'ouvriront pas la bouche. Personne à l'horizon. Aucune voile. Aucune fumée. Je vous fais prisonnière.Elle ne répondit point, continua de marcher un train d'enfer. L'homme de haleter :– Toile d'araignée, fleur de mathématique, ô ma tourterelle, ma respiration...Ce disant, il buta contre un caillou qui se mit à galoper devant eux, ventre à terre, et se perdit dans la fin des temps. Il reprit :– Mon caillou rose, mon astre, mon figuier...Longtemps ainsi, il la para des noms les plus secrets sans prendre garde qu'il avait dépassé les lieux déserts de la fabrique et, à la suite de l'inconnue, franchissait le seuil d'un poste de police.On dut le maintenir solidement entre deux agents lorsque son idole lui sourit et disparut à nouveau dans les ténèbres. Il déclina son nom, prénom, qualité et domicile, et remit aux autorités de l'heure son carnet de notes sur « L'Eden retrouvé en remontant les pas des générations ».Puis, le sommeil le prit ; il réclama un lit avec des draps blancs.– De beaux draps blancs, monsieur le commissaire.Le commissaire, rempli d'une sollicitude imprévue, coucha sur une page vierge de son registre cette âme d'une éblouissante pureté.?>LE BIENHEUREUX?>Immobile, assis sur la pierre de son minuscule balcon, monsieur Duvet se fond dans l'impersonnel.En dessous de lui, très bas, un klaxon d'automobile éveille toutes les figures de comédie. Monsieur Duvet n'entend rien. Il voyage sur le dos du nuage à tête d'éléphant. Lorsqu'il rencontre un méridien, il le touche du doigt, et le fait vibrer ainsi que la corde d'une harpe.En vain, sa femme (une irréparable erreur de jeunesse) répéte-t-elle pour la neuvième fois que le potage refroidit, le bienheureux voyage sur le dos du nuage en forme d'éternité.Il était à ce point dégagé des choses charnelles qu'il ne pouvait même plus souffrir la peau du lait.?>LE GRAND SOMMEIL?>Le médecin avait endormi la femme sur le point d'accoucher. L'enfant naquit en dormant. La mère continua de dormir. L'enfant continua de croître en dormant. Quelle importance ? Depuis longtemps le médecin lui-même et les infirmières dormaient.Dans les rues, des millions d'hommes dormaient debout. Des millions d'autres dormaient couchés, dormaient assis. Dormaient les yeux ouverts. Dormaient au volant de leur voiture, aux leviers de commande de leur vide.Des millions mouraient en dormant. Des assassins tuaient en dormant. Quelle importance ? Personne n'était responsable. Les objets aussi dormaient, n'ayant jamais connu un homme qui les signifiât.Guerres, fléaux gigantesques s'abattirent sur la terre. Des millions de machines entretuèrent des millions de machines. Effroyable collision de somnambules ! Des millions de machines croyaient aimer ou haïr.Des couples se mariaient, des prêtres officiaient en dormant. Des millions d'hommes parlaient, parlaient, en dormant. Etudiaient, lisaient, inventaient, tenaient des discours en dormant.Certains demandaient asile aux femmes, demandaient à rentrer dans leurs ventres ; oui, de retourner à l'origine afin d'oublier qu'ils avaient oublié, qu'ils avaient perdu la mémoire en naissant.Une telle épaisseur de sommeil engendre les monstres du siècle.?>LE ROI DU BOUFFON?>Oui, le roi était plus le roi du bouffon que le bouffon le bouffon du roi. Quel bouffon ! Quel roi ! Au vrai, il existait là un tel univers d'ambiguïtés, qu'il se montrait souvent difficile, sinon impossible, de savoir où le roi, où le bouffon.
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