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Résumé
L'ÉPOQUE?>GUY KONOPNICKI?>L'écologie des imbéciles029 Il y avait un socialisme des imbéciles, dénoncé comme tel par August Bebel. On sait ce qu'il advint de cet antisémitisme populiste très tôt présent dans le mouvement ouvrier. Il y a désormais une écologie des imbéciles. Ce n'est pas seulement celle de Jean Brière, écolo lyonnais célèbre pour son texte sur le rôle belligène du lobby juif : le succès des Verts n'est jamais que l'expression de la nouvelle bêtification sociale. De ce côté on rêve d'un monde proche de l'harmonie naturelle, d'une société lavée de ses impuretés par un mouvement dont la pensée doit plus aux pubs pour lessives sans phosphates qu'à la réflexion politique. Comme d'autres rêvent d'une France pure. Dans les deux cas le juif incarne l'impureté. En termes d'écosystème il faut, évidemment, lui attribuer scientifiquement un rôle néfaste : il est donc belligène. Dans sa verte candeur l'écolo aurait, selon Brière, sous-estimé le mal. C'est que les juifs sont influents dans les médias, bien sûr ! L'image du fauteur de guerre influent dans les médias, manipulant la pauvre société aryenne pure et naïve est d'une troublante nouveauté. On savait déjà que les Verts empruntaient à Vichy le goût des verts paradis, l'amour du légume cultivé à l'ancienne et le goût enivrant des topinambours. Le bon vieux ruralisme, mâtiné de bon sens populaire et de moralisme scout : Waechter, jeune homme propret, un rien technocrate semblait sortir de cette tradition de bonté et de compétence qui nous a donné le maréchal, puis le papetier de Saint-Céré. Cela fleurait bon le foin coupé, avec les techniques d'autrefois et de bon gros percherons pour tirer la charrette. Le parti vert semblait tout droit sorti des Chantiers de Jeunesse. De ces chantiers à la milice il y avait, certes, une distance. Le sieur Brière l'aura réduite avec art : retour pour retour, autant ne pas se contenter de la terre et chausser de bonnes vieilles semelles de bois. Le pétainisme ne saurait rester incomplet.JACOBO MACHOVER?>Et Cuba ?030 Cuba est aujourd'hui une île à la dérive. Pratiquement abandonnés par leur protecteur soviétique, Fidel Castro et les siens sombrent dans un superbe isolement, suicidaire, anachronique.Le rationnement de ces trente dernières années a fait place à la pénurie totale des biens de consommation courants et des médicaments. Mais que les bus soient remplacés par des vélos, les tracteurs par des bœufs, peu importe : la seule alternative offerte par le Lider Maximo se résume en ces mots, martelés discours après discours : « Le socialisme ou la mort ».L'immolation de tout un peuple peut-elle cependant sauver un système et son chef ? Paradoxalement, en ce climat macabre, la peur s'estompe. Les Cubains s'expriment de plus en plus librement, malgré le quadrillage systématique, la répression et une surveillance de chaque instant. Depuis de nombreuses années, les militants des comités pour les Droits de l'homme dénoncent l'arbitraire du pouvoir. Car les arrestations et les persécutions n'ont pas réussi à faire taire les voix de Gustavo Arcos, Eliardo Sanchez, Yndamiro Rastano, Orlando Polo et bien d'autres.Et aujourd'hui, un groupe d'intellectuels brave ouvertement, dans le manifeste qui suit, les foudres de la police de Fidel Castro.Certains ont déjà été arrêtés, les autres soumis à des brimades diverses. De l'accueil réservé à leur appel sur le plan international, dépend leur liberté d'expression et leur survie en tant qu'intellectuels critiques.DÉCLARATION D'INTELLECTUELS CUBAINS MEMBRES, POUR LA PLUPART, DE L'UNION DES ÉCRIVAINS ET ARTISTES DE CUBA?>031 La Havane, 29 mai 1991Nous, intellectuels cubains, profondément préoccupés par la situation que connaît notre pays, nous sommes décidés à proposer une attitude raisonnable et modérée à tous les secteurs qui composent notre société pour, tous ensemble, éviter la catastrophe économique, politique et culturelle qui nous menace. Pour cela, nous pensons qu'il faut un débat national sans exclusives, auquel participeraient tous les Cubains intéressés à l'avenir de la nation. C'est ce qui nous pousse à présenter à l'actuelle direction politique les propositions qui suivent, en précisant que nous ne pensons pas être en possession de toute la vérité, mais d'une part de celle-ci. Nous demandons instamment aux ouvriers et aux scientifiques, aux militaires et aux syndicalistes, aux paysans et aux étudiants, aux femmes au foyer, ainsi qu'à tous les citoyens, de contribuer activement à la recherche d'une solution qui éloigne de nous la possibilité d'un naufrage en tant qu'État civilisé. A l'heure actuelle, la politique est trop importante pour être laissée entre les mains des seuls politiciens. Toute vérité absolue est une vérité obsolète.Mesures pour impulser et assurer un ample débat national :1 Élections directes à l'Assemblée nationale, sans restrictions.2 Suppression des restrictions à l'émigration.3 Rétablissement des marchés libres paysans pour éviter la famine qui nous guette.4 Demande d'assistance aux organismes spécialisés des Nations unies afin de remédier à l'absence de médicaments et à l'augmentation prévisible de la mortalité.5 Amnistie pour tous les prisonniers de conscience et pour ceux qui ont tenté d'abandonner clandestinement le pays : on ne peut condamner un être humain pour avoir obéi à l'instinct de conservation.Maria Elena Cruz Varela — Roberto Luque Escalona — Raúl Rivero Castaneda — Fernando Velásquez Médian — Manuel Dfaz Martinez — Víctor M. Serpa Riestra — Manolo Granados — Bernardo Marquez Ravelo — Nancy B. Estrada Galbán — José Lorenzo FuentesGUY SCARPETTA?>Les mondes piégés de Pierre Mertens032 Il existe un étrange préjugé défavorable, en France, concernant l'art de la nouvelle. Tout le monde a beau savoir que certaines œuvres littéraires considérables (de Maupassant à Flanney O'Connor) sont pour l'essentiel constituées de nouvelles ; que les courts récits de Kafka brillent d'un éclat aussi intense que le Château ou le Procès ; que Faulkner et Hemingway n'ont jamais dédaigné de pratiquer la short story, et que l'on trouve dans ce registre certains de leurs chefs-d'œuvre (l'Ours pour le premier, les Neiges du Kilimandjaro pour le second) ; que certaines œuvres plus récentes (le Livre du rire et de l'oubli de Kundera, Encyclopédie des morts de Danilo Kis) montrent qu'un recueil de nouvelles peut avoir la même cohérence et la même ambition qu'un roman — rien n'y fait : cela n'empêche pas la nouvelle d'être obscurément perçue comme un genre mineur, comme si la valeur d'une œuvre était liée à son format1.Un livre vient de paraître, qui devrait permettre de remettre en question cette idée reçue : il s'agit du dernier ouvrage de Pierre Mertens, les Phoques de San Francisco2, que l'on doit d'évidence considérer comme l'un des livres les plus passionnants publiés cette année. Six nouvelles, donc, apparemment sans lien direct entre elles, sinon la cohésion d'un univers littéraire que Mertens avait déjà déployé dans ses « grands » romans, et qui, dans sa façon d'entraîner le lecteur dans les pièges et les zones troubles de récits insidieusement déstabilisés, s'impose ici dans toute sa singularité. La Loyauté du contrat : un écrivain célèbre propose à un débutant de reconstituer sa biographie, et nous attire peu à peu dans un mécanisme pervers (qui n'est pas sans faire penser au « contrat » du Draughtman's contract de Peter Greenaway) où les limites entre la vérité et l'artifice, entre la réalité et sa manipulation, ne cessent de se brouiller. Qu'est-ce que tu deviens ? : un acteur célèbre, en se remémorant certains épisodes de son passé, laisse deviner à demi-mot la blessure secrète qui lézarde l'édifice de sa gloire, et qui en est peut-être l'origine. Souvenir de Montevideo : un homme rêve d'une ville où il n'est jamais allé, mais qu'il semble cependant connaître de l'intérieur, simplement pour lui associer la figure d'Isidore Ducasse, qui y est né, et qui vient hanter sa méditation. Une vie illisible : le plus « borgésien » de ces récits, où l'on voit la vie d'un homme déraper après que sa bibliothèque se fut écroulée. A l'aller elle préfère le retour :évocation saisissante des ravages su...
L'ÉPOQUE?>GUY KONOPNICKI?>L'écologie des imbéciles029 Il y avait un socialisme des imbéciles, dénoncé comme tel par August Bebel. On sait ce qu'il advint de cet antisémitisme populiste très tôt présent dans le mouvement ouvrier. Il y a désormais une écologie des imbéciles. Ce n'est pas seulement celle de Jean Brière, écolo lyonnais célèbre pour son texte sur le rôle belligène du lobby juif : le succès des Verts n'est jamais que l'expression de la nouvelle bêtification sociale. De ce côté on rêve d'un monde proche de l'harmonie naturelle, d'une société lavée de ses impuretés par un mouvement dont la pensée doit plus aux pubs pour lessives sans phosphates qu'à la réflexion politique. Comme d'autres rêvent d'une France pure. Dans les deux cas le juif incarne l'impureté. En termes d'écosystème il faut, évidemment, lui attribuer scientifiquement un rôle néfaste : il est donc belligène. Dans sa verte candeur l'écolo aurait, selon Brière, sous-estimé le mal. C'est que les juifs sont influents dans les médias, bien sûr ! L'image du fauteur de guerre influent dans les médias, manipulant la pauvre société aryenne pure et naïve est d'une troublante nouveauté. On savait déjà que les Verts empruntaient à Vichy le goût des verts paradis, l'amour du légume cultivé à l'ancienne et le goût enivrant des topinambours. Le bon vieux ruralisme, mâtiné de bon sens populaire et de moralisme scout : Waechter, jeune homme propret, un rien technocrate semblait sortir de cette tradition de bonté et de compétence qui nous a donné le maréchal, puis le papetier de Saint-Céré. Cela fleurait bon le foin coupé, avec les techniques d'autrefois et de bon gros percherons pour tirer la charrette. Le parti vert semblait tout droit sorti des Chantiers de Jeunesse. De ces chantiers à la milice il y avait, certes, une distance. Le sieur Brière l'aura réduite avec art : retour pour retour, autant ne pas se contenter de la terre et chausser de bonnes vieilles semelles de bois. Le pétainisme ne saurait rester incomplet.JACOBO MACHOVER?>Et Cuba ?030 Cuba est aujourd'hui une île à la dérive. Pratiquement abandonnés par leur protecteur soviétique, Fidel Castro et les siens sombrent dans un superbe isolement, suicidaire, anachronique.Le rationnement de ces trente dernières années a fait place à la pénurie totale des biens de consommation courants et des médicaments. Mais que les bus soient remplacés par des vélos, les tracteurs par des bœufs, peu importe : la seule alternative offerte par le Lider Maximo se résume en ces mots, martelés discours après discours : « Le socialisme ou la mort ».L'immolation de tout un peuple peut-elle cependant sauver un système et son chef ? Paradoxalement, en ce climat macabre, la peur s'estompe. Les Cubains s'expriment de plus en plus librement, malgré le quadrillage systématique, la répression et une surveillance de chaque instant. Depuis de nombreuses années, les militants des comités pour les Droits de l'homme dénoncent l'arbitraire du pouvoir. Car les arrestations et les persécutions n'ont pas réussi à faire taire les voix de Gustavo Arcos, Eliardo Sanchez, Yndamiro Rastano, Orlando Polo et bien d'autres.Et aujourd'hui, un groupe d'intellectuels brave ouvertement, dans le manifeste qui suit, les foudres de la police de Fidel Castro.Certains ont déjà été arrêtés, les autres soumis à des brimades diverses. De l'accueil réservé à leur appel sur le plan international, dépend leur liberté d'expression et leur survie en tant qu'intellectuels critiques.DÉCLARATION D'INTELLECTUELS CUBAINS MEMBRES, POUR LA PLUPART, DE L'UNION DES ÉCRIVAINS ET ARTISTES DE CUBA?>031 La Havane, 29 mai 1991Nous, intellectuels cubains, profondément préoccupés par la situation que connaît notre pays, nous sommes décidés à proposer une attitude raisonnable et modérée à tous les secteurs qui composent notre société pour, tous ensemble, éviter la catastrophe économique, politique et culturelle qui nous menace. Pour cela, nous pensons qu'il faut un débat national sans exclusives, auquel participeraient tous les Cubains intéressés à l'avenir de la nation. C'est ce qui nous pousse à présenter à l'actuelle direction politique les propositions qui suivent, en précisant que nous ne pensons pas être en possession de toute la vérité, mais d'une part de celle-ci. Nous demandons instamment aux ouvriers et aux scientifiques, aux militaires et aux syndicalistes, aux paysans et aux étudiants, aux femmes au foyer, ainsi qu'à tous les citoyens, de contribuer activement à la recherche d'une solution qui éloigne de nous la possibilité d'un naufrage en tant qu'État civilisé. A l'heure actuelle, la politique est trop importante pour être laissée entre les mains des seuls politiciens. Toute vérité absolue est une vérité obsolète.Mesures pour impulser et assurer un ample débat national :1 Élections directes à l'Assemblée nationale, sans restrictions.2 Suppression des restrictions à l'émigration.3 Rétablissement des marchés libres paysans pour éviter la famine qui nous guette.4 Demande d'assistance aux organismes spécialisés des Nations unies afin de remédier à l'absence de médicaments et à l'augmentation prévisible de la mortalité.5 Amnistie pour tous les prisonniers de conscience et pour ceux qui ont tenté d'abandonner clandestinement le pays : on ne peut condamner un être humain pour avoir obéi à l'instinct de conservation.Maria Elena Cruz Varela — Roberto Luque Escalona — Raúl Rivero Castaneda — Fernando Velásquez Médian — Manuel Dfaz Martinez — Víctor M. Serpa Riestra — Manolo Granados — Bernardo Marquez Ravelo — Nancy B. Estrada Galbán — José Lorenzo FuentesGUY SCARPETTA?>Les mondes piégés de Pierre Mertens032 Il existe un étrange préjugé défavorable, en France, concernant l'art de la nouvelle. Tout le monde a beau savoir que certaines œuvres littéraires considérables (de Maupassant à Flanney O'Connor) sont pour l'essentiel constituées de nouvelles ; que les courts récits de Kafka brillent d'un éclat aussi intense que le Château ou le Procès ; que Faulkner et Hemingway n'ont jamais dédaigné de pratiquer la short story, et que l'on trouve dans ce registre certains de leurs chefs-d'œuvre (l'Ours pour le premier, les Neiges du Kilimandjaro pour le second) ; que certaines œuvres plus récentes (le Livre du rire et de l'oubli de Kundera, Encyclopédie des morts de Danilo Kis) montrent qu'un recueil de nouvelles peut avoir la même cohérence et la même ambition qu'un roman — rien n'y fait : cela n'empêche pas la nouvelle d'être obscurément perçue comme un genre mineur, comme si la valeur d'une œuvre était liée à son format1.Un livre vient de paraître, qui devrait permettre de remettre en question cette idée reçue : il s'agit du dernier ouvrage de Pierre Mertens, les Phoques de San Francisco2, que l'on doit d'évidence considérer comme l'un des livres les plus passionnants publiés cette année. Six nouvelles, donc, apparemment sans lien direct entre elles, sinon la cohésion d'un univers littéraire que Mertens avait déjà déployé dans ses « grands » romans, et qui, dans sa façon d'entraîner le lecteur dans les pièges et les zones troubles de récits insidieusement déstabilisés, s'impose ici dans toute sa singularité. La Loyauté du contrat : un écrivain célèbre propose à un débutant de reconstituer sa biographie, et nous attire peu à peu dans un mécanisme pervers (qui n'est pas sans faire penser au « contrat » du Draughtman's contract de Peter Greenaway) où les limites entre la vérité et l'artifice, entre la réalité et sa manipulation, ne cessent de se brouiller. Qu'est-ce que tu deviens ? : un acteur célèbre, en se remémorant certains épisodes de son passé, laisse deviner à demi-mot la blessure secrète qui lézarde l'édifice de sa gloire, et qui en est peut-être l'origine. 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