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Résumé
L'ÉPOQUE?>En réponse à un certain nombre d'intellectuels français qui ont cru bon, à l'occasion de la crise yougoslave, de « choisir leur camp » (en soutenant le nationalisme croate, et en rejetant tous les autres peuples dans les ténèbres de la barbarie), nous ouvrons les colonnes de « l'Épogue » à cinq écrivains yougoslaves, au premier rang de ceux qui ne se résignent pas au déchirement de leur pays. Ils osent se reconnaître dans des valeurs plus vastes que celles, exclusives, de l'identité nationale, et dénoncent la violence nationaliste meurtrière à l'œuvre dans tous les camps en présence.RADA IVEKOVIc?>Au nom d'une histoire plus ancienne¦ La Slovénie et la Croatie ont donc été reconnues États souverains et indépendants. L'on pourrait discuter des problèmes de droit international et diplomatiques que cela soulève. Pourquoi, par exemple, ne pas avoir reconnu toutes les Républiques yougoslaves afin d'arrêter l'armée ex-fédérale et ses complices en Serbie ? Pourquoi avoir cédé à la Grèce et ne pas avoir reconnu la Macédoine, qui répond plus encore que la Croatie à la définition d'un État ?Dans un entretien au Monde (9 juillet 1991), Alain Finkielkraut s'affirme favorable au séparatisme slovène et hostile au séparatisme corse : « L'identité française existe, et les Corses la partagent ; il n'existe pas d'identité yougoslave. » Qui est Alain Finkielkraut pour décider de notre inexistence ? Nous sommes des millions issus, ou faisant partie de familles mixtes (les mariages mixtes s'élevaient à 12 % en 1988), à être yougoslaves par choix (tout en étant également Slovènes ou serbes, etc.), ou encore du fait de ne pas vivre à l'ombre de notre clocher d'origine. Les nationalismes et les chauvinismes qui se sont donnés libre cours dans les Républiques yougoslaves, conjugués avec les atrocités de la guerre et l'incapacité européenne à juger la situation, ont sciemment occulté l'une des identités majeures en Yougoslavie... l'identité yougoslave. Ainsi sommes-nous restés, nous autres, quelques millions, plus nombreux que les Slovènes, sans nom, sans histoire, sans espace, sans patrie et sans État. Si cela s'était passé dans la paix, ce n'eût pas été grave. Nous aurions continué à être yougoslaves culturellement (nous le sommes d'ailleurs tous très fortement, n'en déplaise aux Finkielkraut, Kundera et autres, le reste n'étant que provincialisme), et d'élection. Nous nous sommes retrouvés privés de Yougoslavie, privés de voix et de nom, l'agresseur serbe usurpant ce nom de Yougoslavie que nous ne pouvions plus désormais revendiquer. Et notre voix n'est plus entendue. Nous sommes devenus invisibles, inaudibles, inexistants. Notre temps est supprimé. Désormais commence dans les nouvelles capitales, Zagreb, Ljubljana, Belgrade, un nouveau temps, tout repart à zéro. Les quarante-six ans de notre vie entière, la vie de deux générations de la dernière République yougoslave, sont gommés au nom d'une « histoire plus ancienne ». Mais qui soutiendra qu'elle est moins arbitraire que celle que nous avions produite par notre propre existence ? Qui décide quelle histoire, plutôt qu'une autre, aura cours ? Doit-on éternellement répéter les mêmes erreurs ? Les nationalistes de tous bords et les « spécialistes » nous effacent d'un coup, affirment que nous sommes une fiction, un artifice. Les rues, les places, les villes où nous avons grandi ont été rebaptisées sans que l'on nous demande notre avis. Et en Croatie, où des Serbes aussi bien que des Croates furent tués dans la guerre quotidienne, nos villes ont été détruites par des bombardements. Des affirmations comme celle citée plus haut contribuent à la liquidation d'une identité, la nôtre.Toutes les affirmations sur la différence positive et toute occidentale, européenne, des Slovènes ou des Croates, par opposition aux Serbes et aux Balkans en général, relève de la mauvaise foi et de la désinformation historique. Finkielkraut s'exclame : « Mais la Slovénie n'est pas partie du monde balkanique... » (Le Monde, 9 juillet 1991), et Kundera écrit : « Mais qu'est-ce que la Slovénie peut avoir en commun avec les Balkans ? C'est un pays occidental très proche de l'Italie (...) catholique (...), faisant longtemps partie de l'empire austro-hongrois, le pays où le concept d'Europe centrale (...) est plus vivant qu'ailleurs. » (Le Monde, 4 juillet 1991). Bravo ! Je dirais à l'inverse que nous sommes tous à la fois européens et par ailleurs, balkaniques ou (peu importe) slovènes, serbes... En vérité, Finkielkraut, Kundera et consorts s'appliquent à tracer les nouvelles frontières orientales de l'Europe, pour endiguer le « danger balkanique », voire le « danger asiatique ». Mais ils ne voient pas, ils n'ont aucune expérience desdits pays, pays, ô combien, de métissages. Tous les critères d'après lesquels la Slovénie ou la Croatie appartiendraient à l'Europe (Et alors ? Est-ce un honneur ?) pourraient être élargis à la Serbie, et à plus forte raison à la Turquie... Mais l'Europe peut-elle se penser aussi loin ? Nous voilà, grande terreur, rejetés en Asie ! L'Europe se défend d'un Orient fantasmatique par la bouche de ces messieurs.Les mêmes entretiennent une seconde équivoque, donnant à penser que le changement du statu quo territorial, la reconnaissance de l'indépendance, la sécession, garantiraient le progrès de la démocratie. Rien n'est moins automatique. La démocratie est d'abord le choix d'un mode de règlement des conflits exclusivement politico-juridique (il sera bien plus difficile, de toute évidence, de négocier après la guerre). L'aspiration nationale ou/et nationaliste est une chose, l'aspiration démocratique en est une autre. Il n'y a aucun intérêt à les confondre. La démocratie ne peut être définie en termes nationaux. Qu'on pense à la Suisse, d'un côté, à la Roumanie de Ceaucescu, de l'autre.Quant à défendre la victime d'une agression, cet impératif est indépendant du caractère moral attribué par ailleurs à ladite victime, pour ses vertus « démocratiques » ou autres. Rien ne justifie l'agression. J'espère que nous sommes tous d'accord sur ce point. Dans cette guerre serbo-croate, la Croatie fut agressée — ce qui ne lui confère en rien un brevet de démocratie —, en premier lieu par l'armée ex-fédérale, par le gouvernement de Miloševic (serbe), ensuite, par une partie de l'opinion publique en Serbie. Mais pas par les « Serbes » en général.Cette nuance importante permet de redonner un espace à la pensée critique et à la liberté de l'esprit, et de retrouver un regard analytique. La guerre des médias et celle des armes ont en effet complètement homogénéisé les opinions publiques serbe, croate, etc. (les Yougoslaves étant exclus d'avance, ainsi que les pacifistes) autour du critère d'appartenance nationale. Chaque protagoniste se durcissait sur ses positions nationales, accusant l'autre des pires atrocités. Dans la guerre des médias, les deux côtés se valèrent par leur propagande immonde, témoignant d'une surprenante complémentarité. Dans la guerre militaire, en revanche, il n'y a pas de symétrie possible : il n'est pas pensable de renvoyer dos à dos l'agresseur et l'agressé, sur le territoire duquel la guerre a lieu. Mais sur le terrain, Croates et Serbes se sont infligés et ont infligé aux populations civiles, les mêmes atrocités. Personne n'est innocent.Il est aussi inadmissible de prétendre que le nationalisme est bon pour les pays d'Europe de l'Est parce qu'ils sont en retard sur l'Occident, qu'il est épuisé en Europe de l'Ouest parce qu'elle serait en avance, et donc qu'il n'autorise la sécession ni des Corses, ni des Basques, ni des Irlandais du Nord etc. Ce double critère nous supprime tous, nous autres — des millions, encore une fois — qui ne pouvons nous identifier à une nation possédée par le nationalisme, ni n'entendons nous ranger sous tel ou tel drapeau. Parce que nous serions de « petites nations », à la langue inconnue en dehors de nos frontières, nous serions condamnés au nationalisme ! Ceux qui le connaissent de première main, ne peuvent accepter que nous soyions, de façon aussi cavalière, voués à faire marche arrière, voués au chambardement des frontières (si les nôtres sont en cause aujourd'hui...
L'ÉPOQUE?>En réponse à un certain nombre d'intellectuels français qui ont cru bon, à l'occasion de la crise yougoslave, de « choisir leur camp » (en soutenant le nationalisme croate, et en rejetant tous les autres peuples dans les ténèbres de la barbarie), nous ouvrons les colonnes de « l'Épogue » à cinq écrivains yougoslaves, au premier rang de ceux qui ne se résignent pas au déchirement de leur pays. Ils osent se reconnaître dans des valeurs plus vastes que celles, exclusives, de l'identité nationale, et dénoncent la violence nationaliste meurtrière à l'œuvre dans tous les camps en présence.RADA IVEKOVIc?>Au nom d'une histoire plus ancienne¦ La Slovénie et la Croatie ont donc été reconnues États souverains et indépendants. L'on pourrait discuter des problèmes de droit international et diplomatiques que cela soulève. Pourquoi, par exemple, ne pas avoir reconnu toutes les Républiques yougoslaves afin d'arrêter l'armée ex-fédérale et ses complices en Serbie ? Pourquoi avoir cédé à la Grèce et ne pas avoir reconnu la Macédoine, qui répond plus encore que la Croatie à la définition d'un État ?Dans un entretien au Monde (9 juillet 1991), Alain Finkielkraut s'affirme favorable au séparatisme slovène et hostile au séparatisme corse : « L'identité française existe, et les Corses la partagent ; il n'existe pas d'identité yougoslave. » Qui est Alain Finkielkraut pour décider de notre inexistence ? Nous sommes des millions issus, ou faisant partie de familles mixtes (les mariages mixtes s'élevaient à 12 % en 1988), à être yougoslaves par choix (tout en étant également Slovènes ou serbes, etc.), ou encore du fait de ne pas vivre à l'ombre de notre clocher d'origine. Les nationalismes et les chauvinismes qui se sont donnés libre cours dans les Républiques yougoslaves, conjugués avec les atrocités de la guerre et l'incapacité européenne à juger la situation, ont sciemment occulté l'une des identités majeures en Yougoslavie... l'identité yougoslave. Ainsi sommes-nous restés, nous autres, quelques millions, plus nombreux que les Slovènes, sans nom, sans histoire, sans espace, sans patrie et sans État. Si cela s'était passé dans la paix, ce n'eût pas été grave. Nous aurions continué à être yougoslaves culturellement (nous le sommes d'ailleurs tous très fortement, n'en déplaise aux Finkielkraut, Kundera et autres, le reste n'étant que provincialisme), et d'élection. Nous nous sommes retrouvés privés de Yougoslavie, privés de voix et de nom, l'agresseur serbe usurpant ce nom de Yougoslavie que nous ne pouvions plus désormais revendiquer. Et notre voix n'est plus entendue. Nous sommes devenus invisibles, inaudibles, inexistants. Notre temps est supprimé. Désormais commence dans les nouvelles capitales, Zagreb, Ljubljana, Belgrade, un nouveau temps, tout repart à zéro. Les quarante-six ans de notre vie entière, la vie de deux générations de la dernière République yougoslave, sont gommés au nom d'une « histoire plus ancienne ». Mais qui soutiendra qu'elle est moins arbitraire que celle que nous avions produite par notre propre existence ? Qui décide quelle histoire, plutôt qu'une autre, aura cours ? Doit-on éternellement répéter les mêmes erreurs ? Les nationalistes de tous bords et les « spécialistes » nous effacent d'un coup, affirment que nous sommes une fiction, un artifice. Les rues, les places, les villes où nous avons grandi ont été rebaptisées sans que l'on nous demande notre avis. Et en Croatie, où des Serbes aussi bien que des Croates furent tués dans la guerre quotidienne, nos villes ont été détruites par des bombardements. Des affirmations comme celle citée plus haut contribuent à la liquidation d'une identité, la nôtre.Toutes les affirmations sur la différence positive et toute occidentale, européenne, des Slovènes ou des Croates, par opposition aux Serbes et aux Balkans en général, relève de la mauvaise foi et de la désinformation historique. Finkielkraut s'exclame : « Mais la Slovénie n'est pas partie du monde balkanique... » (Le Monde, 9 juillet 1991), et Kundera écrit : « Mais qu'est-ce que la Slovénie peut avoir en commun avec les Balkans ? C'est un pays occidental très proche de l'Italie (...) catholique (...), faisant longtemps partie de l'empire austro-hongrois, le pays où le concept d'Europe centrale (...) est plus vivant qu'ailleurs. » (Le Monde, 4 juillet 1991). Bravo ! Je dirais à l'inverse que nous sommes tous à la fois européens et par ailleurs, balkaniques ou (peu importe) slovènes, serbes... En vérité, Finkielkraut, Kundera et consorts s'appliquent à tracer les nouvelles frontières orientales de l'Europe, pour endiguer le « danger balkanique », voire le « danger asiatique ». Mais ils ne voient pas, ils n'ont aucune expérience desdits pays, pays, ô combien, de métissages. Tous les critères d'après lesquels la Slovénie ou la Croatie appartiendraient à l'Europe (Et alors ? Est-ce un honneur ?) pourraient être élargis à la Serbie, et à plus forte raison à la Turquie... Mais l'Europe peut-elle se penser aussi loin ? Nous voilà, grande terreur, rejetés en Asie ! L'Europe se défend d'un Orient fantasmatique par la bouche de ces messieurs.Les mêmes entretiennent une seconde équivoque, donnant à penser que le changement du statu quo territorial, la reconnaissance de l'indépendance, la sécession, garantiraient le progrès de la démocratie. Rien n'est moins automatique. La démocratie est d'abord le choix d'un mode de règlement des conflits exclusivement politico-juridique (il sera bien plus difficile, de toute évidence, de négocier après la guerre). L'aspiration nationale ou/et nationaliste est une chose, l'aspiration démocratique en est une autre. Il n'y a aucun intérêt à les confondre. La démocratie ne peut être définie en termes nationaux. Qu'on pense à la Suisse, d'un côté, à la Roumanie de Ceaucescu, de l'autre.Quant à défendre la victime d'une agression, cet impératif est indépendant du caractère moral attribué par ailleurs à ladite victime, pour ses vertus « démocratiques » ou autres. Rien ne justifie l'agression. J'espère que nous sommes tous d'accord sur ce point. Dans cette guerre serbo-croate, la Croatie fut agressée — ce qui ne lui confère en rien un brevet de démocratie —, en premier lieu par l'armée ex-fédérale, par le gouvernement de Miloševic (serbe), ensuite, par une partie de l'opinion publique en Serbie. Mais pas par les « Serbes » en général.Cette nuance importante permet de redonner un espace à la pensée critique et à la liberté de l'esprit, et de retrouver un regard analytique. La guerre des médias et celle des armes ont en effet complètement homogénéisé les opinions publiques serbe, croate, etc. (les Yougoslaves étant exclus d'avance, ainsi que les pacifistes) autour du critère d'appartenance nationale. Chaque protagoniste se durcissait sur ses positions nationales, accusant l'autre des pires atrocités. Dans la guerre des médias, les deux côtés se valèrent par leur propagande immonde, témoignant d'une surprenante complémentarité. Dans la guerre militaire, en revanche, il n'y a pas de symétrie possible : il n'est pas pensable de renvoyer dos à dos l'agresseur et l'agressé, sur le territoire duquel la guerre a lieu. Mais sur le terrain, Croates et Serbes se sont infligés et ont infligé aux populations civiles, les mêmes atrocités. 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