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Résumé
christian bourgois?>publie aussi des essais?>boulezjalonscoriatl'atelier et le robotgaddaéros et priapenancyla communauté désœuvréenattiezwagner androgyneprazle pacte avec le serpentsloterdijkle penseur sur scènesusan sontagle sida et ses métaphoresviriliol'inertie polaire003ALAIN MINC À?>après-demain, Debray ?¦ Debray, gaulliste ? Rien d'étonnant : ce « républicain », qui se battit chaque jour contre les « démocrates » ne pouvait que mettre De Gaulle en haut de la cheminée, là où la gauche classique installe Ferry, Clemenceau ou Mitterrand. Mais Debray, nietzschéen, quelle surprise ! Un grand homme ne légitime pas le culte du grand homme. Faut-il que la rédemption soit douloureuse ! Partie de la lutte des classes, traversant le nationalisme, elle s'achève dans une nostalgie amère dont le surhomme constitue l'ultime consolation. Notre ami oublierait-il que le surhomme en politique, c'est le refus de la société, de sa dynamique, de son mouvement ? Omettrait-il les dérapages qu'appelle ce nietzchéisme, même si sa morale à lui, Debray, nous en préserve ? Ignorerait-il que, neuf fois sur dix, lorsque les sociétés abdiquent, c'est pour leur malheur ? De Gaulle est au surhomme une anomalie : un légitimiste du suffrage universel. Cet heureux accident de l'Histoire ne se suffit pas à lui-même. Aborder le vingt-et-unième siècle avec, pour seul viatique, les fulgurances d'un génie né en 1890, c'est croire, en Histoire, à la révélation de la parole. Ainsi un siècle de drames et de bouleversements ne pourrait-il se lire qu'avec les évangiles du Connétable. Soit l'Histoire fonctionne en cercle fermé et repasse tous les cent ans au même endroit : Richelieu, Napoléon, De Gaulle même combat. Soit l'Histoire est en mouvement mais De Gaulle serait un nouveau Moïse qui aurait reçu les tables de la loi. Entre ces deux versions, il n'existe pas de voie moyenne : Debray n'encense pas le rebelle, par nature éternel, mais le prophète...Ce n'est pas, cher Régis, parce que nous avons ignoré De Gaulle quand il dominait son temps — et notre jeunesse — qu'il faut l'aduler aujourd'hui — et sans réserve. Ce n'est pas parce que la Russie boit le communisme comme un buvard l'encre, ainsi que l'avait prédit le surhomme, que sa philosophie des relations internationales, si ignorante du poids de l'économie, préfigure le vingt-et-unième siècle. Ce n'est pas enfin parce que la chute du Mur de Berlin a sonné le glas de l'Europe communautaire que nous devons oublier le principal péché du gaullisme, son refus de faire une Europe à notre main, quand l'Allemagne était prête à tout pour s'acheter une respectabilité. La gauche serait-elle en panne d'idées, au point de s'abandonner rétrospectivement, et toute honte bue, aux mains de ce Péguy soldat, ou de ce Richelieu philosophe, auxquels s'identifiait alternativement le Général ?ALAIN FERRARI?>Aujourd'hui, Gombrowicz¦« Dis-nous, ô pélerin, comment t'atteindre ? » Gombrowicz terminait son essai sur Dante par cette question. C'est à son sujet qu'elle se pose aujourd'hui. Si on a enrichi l'édition française, on a aussi multiplié les études critiques, qui ont étouffé l'œuvre. La tentative la plus radicale reste celle de Rosine Georgin, appliquant aux romans, aux pièces, au journal, une stérile grille lacanienne. Il devient urgent de retourner aux textes. En Pologne, on les a déjà embaumés ; et trop de respect tue. En France, une brillante reprise d'Opérette par Lavelli n'a pas dissipé la poussière de malentendus : d'abord parce qu'on persiste à limiter Gombrowicz à son théâtre ; ensuite parce qu'Opérette porte le masque d'une satire de l'aristocratie polonaise, et qu'il faut arracher ce masque ; enfin, parce qu'y passe le fantôme d'un proche parent de Beckett et Ionesco, un « écrivain de l'absurde », que Gombrowicz s'est défendu d'être. Cessons de le considérer comme un penseur. Lisons — ou relisons — ses admirables romans, hantés par la souffrance et par un rire libérateur. On y trouve des personnages autonomes et non, comme on l'a dit, des doubles exsangues de leur créateur ; des personnages à la recherche de leur identité, nos frères. Quant aux thèmes énigmatiques que les romans proposent — le goût de l'immaturité, l'individu « élaboré par ce qui lui est inférieur », la subordination à « l'interhumain, seule divinité à nous accessible », le combat contre le père et la patrie au profit d'une dérangeante « filistrie » —, vous voudriez réduire tout cela à une « pure et simple révolte contre les formes sociales de l'existence ? » (Journal, 1957). Autre malentendu : Gombrowicz fascisant. Comme l'a rappelé sa femme Rita, il dénonçait le goulag quand Jean-Paul Sartre devenait compagnon de route. S'il ne participa pas, ensuite, au consensus antistalinien, c'est qu'il tournait décidément le dos à l'espérance.MANUEL CARCASSONNE?>Encore Gombrowicz¦« Je suis un peu un cachet d'aspirine qui décongestionne. » L'autoportrait est de Witold Gombrowicz, s'entretenant avec Dominique de Roux (1935-1977) dans Testament, le livre-confession paru en 1968, fabriqué à deux, et astucieusement réédité (Entretiens de Witold Gombrowicz avec Dominique de Roux, collection « bibliothèque Belfond »). En 1969, l'ascète clownesque s'éteignait, non sans avoir pris le soin, une dernière fois, avec la morgue de fausse supériorité et la nonchalance du joueur de tennis, de danser sa vie. « Je commence lentement à marcher. Je danse ». Testament est donc un jeu d'esquive autant qu'un bilan, un essai de définition sincère autant qu'une pétarade continue d'ironies et de sarcasmes. Cela commence comme suit : « Je ne connais ni ma vie ni mon œuvre ». Décourageant ? Il en fallait plus pour semer ce limier virevoltant, Dominique de Roux. Gombrowicz, homme-orchestre, se met en scène. Il revit la bataille de l'immaturité avec Ferdydurke (1937), les pièges de l'authenticité feinte avec le Journal (« Un journal ? Moi ? Avec la vie que j'ai ? Quelle idée ! »), l'impossibilité d'un point final avec l'autobiographie d'une conscience en pâte feuilletée. « J'étais un agglomérat de mondes divers, ni chair ni poisson. J'étais caméléon. » Au passage, la Pologne d'avant-guerre, l'Argentine de l'exil revigorant mais tragique, Paris abordé en corsaire, Berlin traversé en solitaire forment l'arrière-plan du panorama. Sous nos yeux, le Gombrowicz asthmatique cabriole et folâtre. Sa vérité, toujours, est dans la fuite. « Durant tout ce dialogue, l'impression ne m'a pas quitté que mon œuvre se trouvait tout à fait ailleurs. »JACQUES HENRIC?>Des bottes d'Heidegger...¦ Il y a trois ans, le livre de Farias provoqua en France un prurit qui dura quelques mois. Puis tout rentra dans l'ordre : les poètes heideggerioliâtres s'arrachèrent deux-trois croûtes et retournèrent à leurs jaculations lapidaires et ésotériques, la gente philosophique eut un haussement d'épaule de mépris pour cette plèbe médiocre qui avait l'extrême mauvais goût de se poser quelques questions très prosaïques sur les engagements politiques du « plus grand philosophe du XXe siècle ». Ladite élite philosophique, aujourd'hui, est retournée à ses colloques et à ses séminaires consacrés au « maître » ; on est entre gens de bonne compagnie, pas question d'inviter à l'auguste table quelque trublion, quelque esprit grossier qui empêcherait de ronronphilosopher en rond. On se cire consciencieusement les pompes en ne négligeant pas au passage de refiler d'énergiques coups de brillant aux grosses grolles paysannes (plus présentables tout de même que les bottes d'une certaine époque) de celui dont Alain Badiou, dans son Manifeste philosophique (Seuil), injustement passé inaperçu lors de sa parution l'an dernier, disait qu'il « livra la philosophie au poème », portant ainsi à son acmé l'étrange mouvement qui a fait de tous les philosophes « depuis Nietzsche » des « poètes manqués, ou approximatifs, ou notoires ».On le voit, tous les philosophes français n'ont pas enfourché ce vieux canasson de l'habiter poétiquement et ne se sont pas mis au service d'une des plus délétères opérations de la pensée qui consiste à essentialiser tous azimuts, à essentialiser la poésie, le langage, la philosophie, la pensée, à poétiser, surpoétiser, à sursublimis...
christian bourgois?>publie aussi des essais?>boulezjalonscoriatl'atelier et le robotgaddaéros et priapenancyla communauté désœuvréenattiezwagner androgyneprazle pacte avec le serpentsloterdijkle penseur sur scènesusan sontagle sida et ses métaphoresviriliol'inertie polaire003ALAIN MINC À?>après-demain, Debray ?¦ Debray, gaulliste ? Rien d'étonnant : ce « républicain », qui se battit chaque jour contre les « démocrates » ne pouvait que mettre De Gaulle en haut de la cheminée, là où la gauche classique installe Ferry, Clemenceau ou Mitterrand. Mais Debray, nietzschéen, quelle surprise ! Un grand homme ne légitime pas le culte du grand homme. Faut-il que la rédemption soit douloureuse ! Partie de la lutte des classes, traversant le nationalisme, elle s'achève dans une nostalgie amère dont le surhomme constitue l'ultime consolation. Notre ami oublierait-il que le surhomme en politique, c'est le refus de la société, de sa dynamique, de son mouvement ? Omettrait-il les dérapages qu'appelle ce nietzchéisme, même si sa morale à lui, Debray, nous en préserve ? Ignorerait-il que, neuf fois sur dix, lorsque les sociétés abdiquent, c'est pour leur malheur ? De Gaulle est au surhomme une anomalie : un légitimiste du suffrage universel. Cet heureux accident de l'Histoire ne se suffit pas à lui-même. Aborder le vingt-et-unième siècle avec, pour seul viatique, les fulgurances d'un génie né en 1890, c'est croire, en Histoire, à la révélation de la parole. Ainsi un siècle de drames et de bouleversements ne pourrait-il se lire qu'avec les évangiles du Connétable. Soit l'Histoire fonctionne en cercle fermé et repasse tous les cent ans au même endroit : Richelieu, Napoléon, De Gaulle même combat. Soit l'Histoire est en mouvement mais De Gaulle serait un nouveau Moïse qui aurait reçu les tables de la loi. Entre ces deux versions, il n'existe pas de voie moyenne : Debray n'encense pas le rebelle, par nature éternel, mais le prophète...Ce n'est pas, cher Régis, parce que nous avons ignoré De Gaulle quand il dominait son temps — et notre jeunesse — qu'il faut l'aduler aujourd'hui — et sans réserve. Ce n'est pas parce que la Russie boit le communisme comme un buvard l'encre, ainsi que l'avait prédit le surhomme, que sa philosophie des relations internationales, si ignorante du poids de l'économie, préfigure le vingt-et-unième siècle. Ce n'est pas enfin parce que la chute du Mur de Berlin a sonné le glas de l'Europe communautaire que nous devons oublier le principal péché du gaullisme, son refus de faire une Europe à notre main, quand l'Allemagne était prête à tout pour s'acheter une respectabilité. La gauche serait-elle en panne d'idées, au point de s'abandonner rétrospectivement, et toute honte bue, aux mains de ce Péguy soldat, ou de ce Richelieu philosophe, auxquels s'identifiait alternativement le Général ?ALAIN FERRARI?>Aujourd'hui, Gombrowicz¦« Dis-nous, ô pélerin, comment t'atteindre ? » Gombrowicz terminait son essai sur Dante par cette question. C'est à son sujet qu'elle se pose aujourd'hui. Si on a enrichi l'édition française, on a aussi multiplié les études critiques, qui ont étouffé l'œuvre. La tentative la plus radicale reste celle de Rosine Georgin, appliquant aux romans, aux pièces, au journal, une stérile grille lacanienne. Il devient urgent de retourner aux textes. En Pologne, on les a déjà embaumés ; et trop de respect tue. En France, une brillante reprise d'Opérette par Lavelli n'a pas dissipé la poussière de malentendus : d'abord parce qu'on persiste à limiter Gombrowicz à son théâtre ; ensuite parce qu'Opérette porte le masque d'une satire de l'aristocratie polonaise, et qu'il faut arracher ce masque ; enfin, parce qu'y passe le fantôme d'un proche parent de Beckett et Ionesco, un « écrivain de l'absurde », que Gombrowicz s'est défendu d'être. Cessons de le considérer comme un penseur. Lisons — ou relisons — ses admirables romans, hantés par la souffrance et par un rire libérateur. On y trouve des personnages autonomes et non, comme on l'a dit, des doubles exsangues de leur créateur ; des personnages à la recherche de leur identité, nos frères. Quant aux thèmes énigmatiques que les romans proposent — le goût de l'immaturité, l'individu « élaboré par ce qui lui est inférieur », la subordination à « l'interhumain, seule divinité à nous accessible », le combat contre le père et la patrie au profit d'une dérangeante « filistrie » —, vous voudriez réduire tout cela à une « pure et simple révolte contre les formes sociales de l'existence ? » (Journal, 1957). Autre malentendu : Gombrowicz fascisant. Comme l'a rappelé sa femme Rita, il dénonçait le goulag quand Jean-Paul Sartre devenait compagnon de route. S'il ne participa pas, ensuite, au consensus antistalinien, c'est qu'il tournait décidément le dos à l'espérance.MANUEL CARCASSONNE?>Encore Gombrowicz¦« Je suis un peu un cachet d'aspirine qui décongestionne. » L'autoportrait est de Witold Gombrowicz, s'entretenant avec Dominique de Roux (1935-1977) dans Testament, le livre-confession paru en 1968, fabriqué à deux, et astucieusement réédité (Entretiens de Witold Gombrowicz avec Dominique de Roux, collection « bibliothèque Belfond »). En 1969, l'ascète clownesque s'éteignait, non sans avoir pris le soin, une dernière fois, avec la morgue de fausse supériorité et la nonchalance du joueur de tennis, de danser sa vie. « Je commence lentement à marcher. Je danse ». Testament est donc un jeu d'esquive autant qu'un bilan, un essai de définition sincère autant qu'une pétarade continue d'ironies et de sarcasmes. Cela commence comme suit : « Je ne connais ni ma vie ni mon œuvre ». Décourageant ? Il en fallait plus pour semer ce limier virevoltant, Dominique de Roux. Gombrowicz, homme-orchestre, se met en scène. Il revit la bataille de l'immaturité avec Ferdydurke (1937), les pièges de l'authenticité feinte avec le Journal (« Un journal ? Moi ? Avec la vie que j'ai ? Quelle idée ! »), l'impossibilité d'un point final avec l'autobiographie d'une conscience en pâte feuilletée. « J'étais un agglomérat de mondes divers, ni chair ni poisson. J'étais caméléon. » Au passage, la Pologne d'avant-guerre, l'Argentine de l'exil revigorant mais tragique, Paris abordé en corsaire, Berlin traversé en solitaire forment l'arrière-plan du panorama. Sous nos yeux, le Gombrowicz asthmatique cabriole et folâtre. Sa vérité, toujours, est dans la fuite. « Durant tout ce dialogue, l'impression ne m'a pas quitté que mon œuvre se trouvait tout à fait ailleurs. »JACQUES HENRIC?>Des bottes d'Heidegger...¦ Il y a trois ans, le livre de Farias provoqua en France un prurit qui dura quelques mois. Puis tout rentra dans l'ordre : les poètes heideggerioliâtres s'arrachèrent deux-trois croûtes et retournèrent à leurs jaculations lapidaires et ésotériques, la gente philosophique eut un haussement d'épaule de mépris pour cette plèbe médiocre qui avait l'extrême mauvais goût de se poser quelques questions très prosaïques sur les engagements politiques du « plus grand philosophe du XXe siècle ». Ladite élite philosophique, aujourd'hui, est retournée à ses colloques et à ses séminaires consacrés au « maître » ; on est entre gens de bonne compagnie, pas question d'inviter à l'auguste table quelque trublion, quelque esprit grossier qui empêcherait de ronronphilosopher en rond. 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