Nous n'avons plus d'exemplaire disponible pour le moment mais chaque jour nous remettons plus de 8000 produits en stock.
Vous souhaitez être averti lors de son retour en stock ?
Produit indisponible actuellement
Ce produit a été victime de son succès !
Nous n'avons plus d'exemplaire disponible pour le moment mais chaque jour nous remettons plus de 8000 produits en stock.
Inscrivez-vous à notre alerte sur ce produit pour être prévenu par email lors de son retour en stock.
Résumé
I?>LES TECHNIQUES ROMANESQUES?>?>« L'archipel Simon »?>par GUY TEISSIER Université de Tours?>Chronologie1?>1914 :L'Opinionpublie les cinq premiers chapitres deSimon(version inachevée).1918 : prépublication duchapitre X, « Vacances sur un chagrin », dansLes Écrits nouveaux.1918 :Simon le Pathétique(1reversion ; originale ; Grasset).1919 : « Nuit à Châteauroux », prépublication dans La Nouvelle Revue française.1920 : « Nuit à Châteauroux », dans Adorable Clio,Émile-Paul.1920-1921 : Suzanne et le Pacifique,prépublicationdans La Revue de Paris.1921 :Suzanne et le Pacifique,Émile-Paul.1923 :Simon le Pathétique(2eversion ; G. Crès ; 1100 exemplaires).1924 : Promenade avec Gabrielle, « manuscrit de Jean Giraudoux » (Gallimard ; 185 exemplaires).1926 :Simon le Pathétique(3eversion ; définitive ; Grasset).1926 :Anne chez Simon(Émile-Paul ; 300 exemplaires).1932 : « Sérénade 1913 », dansLa France sentimentale,Grasset.1975 : Lettres de Jean Giraudoux (Klincksieck ; présentation et notes de J. Body).1990 : Lettres à Lilita, correspondance de Jean Giraudoux à Lilita Abreu (Gallimard ; présentation et notes de M. Berne).1990 : Versions primitives de Simon le Pathétique;édition critique de G. Teissier. Versions primitives de Suzanne et le Pacifique;édition critique de L. Gauvin. Dans Œuvres romanesques complètes, t.I, Bibliothèque de la Pléiade.***Simon le Pathétique, roman plus que tout autre remanié par Giraudoux, a connu pendant quinze années une genèse tourmentée2 : elle révèle un réseau de pratiques familières à l'auteur – dans son inspiration créatrice, dans ses stratégies éditoriales. Cette complexe élaboration a proposé aux lecteurs un ensemble variable, sorte de nébuleuse progressivement constituée autour du héros et de son aventure : aujourd'hui les commentateurs peuvent réfléchir sur les motivations de l'écrivain et les réactions des lecteurs, à l'époque des parutions comme après la publication récente de versions inédites. La pièce maîtresse de cet ensemble fictionnel est évidemment le roman dans sa forme achevée, volume clos paru chez Grasset en 1926 sous le titre de Simon le Pathétique. Mais l'« archipel » des fragments publiés, réutilisés, peut engendrer une compréhension seconde, hasardeuse, du texte central : car ces « suppléments » entretiennent avec lui un rapport plus ou moins identifiable.Certains proclament leur relation au roman, en présentant personnages, lieux et situations identiques – îlots signalés par l'auteur. D'autres, par contre, ne conservent avec Simon le Pathétique que des rapports dissimulés : seule une analyse de la genèse peut les repérer.Les îles de « l'archipel Simon »?>Publiés du vivant de Giraudoux, selon sa volonté – ces textes appartiennent à l'histoire de cette composition difficile, mais sur des modes très différenciés.a) Les prépublications : moments d'une genèseLes prépublications occupent une place sans équivoque dans l'histoire d'un texte. Précédant la version définitive, leur parution – étape avancée d'une écriture en cours – constitue une démarche classique, qui appartient au lancement publicitaire de l'œuvre.Au nombre de deux, les prépublications de Simon le Pathétique, d'étendue et d'importance différentes, sont séparées par le conflit mondial. Du 4 juillet au 1er août 1914, l'hebdomadaire L'Opinion publia en feuilleton les cinq premiers chapitres d'une (première) version, Simon : la déclaration de guerre interrompit la parution de ce roman – inachevé, sous cette forme. En 1918 la prépublication du chapitre X, qui ne présentait que quelques variantes par rapport au texte publié, eut lieu au moment même de l'édition originale du roman en librairie3.Dans l'archipel, ces prépublications, archéologie du texte, occupent une fonction de repère historique.b) Les trois versions successives : suites d'une genèseMoins prévisibles, les trois versions complètes successivement données en volume par Giraudoux se rattachent également à l'histoire de la genèse : en 1918 (originale chez Grasset), en 1923 (édition de luxe chez G. Crès) et en 1926 (version définitive chez Grasset). Toile de fond, accessible au lecteur, sur laquelle peut se situer la lecture des autres textes, fragmentaires et aléatoires.Comme les prépublications, ces trois versions permettent aujourd'hui de retracer les bouleversements d'une genèse difficile. A l'époque des parutions, elles ont amené les lecteurs à des conclusions erronées. Avec eux, les commentateurs ont pensé que ces remaniements avaient modifié progressivement la construction et le sens du roman. Il est apparu récemment que Giraudoux était au contraire revenu par étapes à son projet initial, déformé lors de la correction de l'originale.Il faut désormais repenser la stratégie de Giraudoux, présentant deux fragments, l'un inédit, l'autre publié – dans une perspective totalement inverse : reconstituant le roman original, il accréditait l'idée d'une restructuration totale, en faisant éditer, dans une curieuse postpublication un « manuscrit » apocryphe. Dans quelles intentions?c) La postpublication d'un « manuscrit » : falsification d'une genèse?L'archipel Simon présente un cas de publication fragmentaire extrêmement rare et tout à fait atypique – et par là même intrigant. Dans quelle catégorie faut-il classer Promenade avec Gabrielle, plaquette tirée en 1924 par la NRF à 185 exemplaires ? Nullement une prépublication : le texte complet était paru, et Giraudoux par les hasards de l'édition4 , avait proposé déjà deux versions différentes de l'épisode. Ce n'était pas l'édition d'un fragment éliminé, car ce passage, chapitre constitutif de la version définitive du roman figurait – à quelques variantes stylistiques près – dans le texte de l'originale publié en 19185.De plus cette publication se présentait sous la forme d'un manuscrit soigneusement rédigé et rehaussé de dessins. Pour quels effets, en rapport avec la lecture du texte définitif, Giraudoux avait-il décidé de publier le « manuscrit » de ce chapitre isolé? Manuscrit « impossible » de plus, que l'analyse génétique et les documents prouvent être une fabrication apocryphe6. Ce texte tout à fait proche de la version 1918 ne pouvait modifier de façon significative l'approche d'un lecteur de 1924 : sa publication énigmatique n'intervient guère pour une nouvelle lecture de Simon le Pathétique. Par contre son importance est primordiale dans l'histoire de la genèse, que cette plaquette « manuscrite » a pour effet de falsifier.d) Le retour des héros : achèvement d'une genèse ?La composition archipélagique utilise la technique « balzacienne » du retour des personnages : Giraudoux la pratiquera dans le cycle de Fontranges. Première apparition significative7 : un double lien mène de Simon le Pathétiqueà l'héroïne et au roman qui lui succèdent, Suzanne dans Suzanne et le Pacifique. C'est l'un des éléments les plus importants de cette organisation en archipel.Sur l'itinéraire qui mène Suzanne de Bellac à l'île du Pacifique, Simon intervient à deux moments de la fiction, à deux niveaux distincts du récit.Lien fictionnel d'abord. Dans le chapitre II, Suzanne explorant les banlieues autour de Paris, constate près d'elle la présence régulière d'un jeune homme, anonyme ; elle le perd, puis le retrouve dans un jardin public : il est en compagnie d'une jeune fille qui « appelait le jeune homme Simon et l'embrassait ». Ainsi fait de manière explicite son entrée dans cette nouvelle intrigue romanesque Simon, héros transfuge de l'œuvre précédente. Et avec lui, bientôt, « son amie Anne » : dans une situation inchangée, qui semble donc immuable, se retrouve le couple incertain de Simon le Pathétique. Anne, toujours « amie » de Simon, n'est devenue ni sa « femme » ni même sa « fiancée ». Autour d'eux s'organise cependant, sur un mode tout à fait social, la fin de cette étape parisienne du voyage de Suzanne – dans la seconde partie du chapitre II : « Anne et Simon voulurent me faire connaître un soir leurs amis voyageurs. » Cependant ils s'effacent derrière les personnages exotiques qu'ils ont suscités – Ceorelle, Toulet, Curnonsky, Marie Belliard, le duc de Sarignon. Leur image aussi bien que leur fonction reste en retrait. Ils symbolisent à nouveau, de...
I?>LES TECHNIQUES ROMANESQUES?>?>« L'archipel Simon »?>par GUY TEISSIER Université de Tours?>Chronologie1?>1914 :L'Opinionpublie les cinq premiers chapitres deSimon(version inachevée).1918 : prépublication duchapitre X, « Vacances sur un chagrin », dansLes Écrits nouveaux.1918 :Simon le Pathétique(1reversion ; originale ; Grasset).1919 : « Nuit à Châteauroux », prépublication dans La Nouvelle Revue française.1920 : « Nuit à Châteauroux », dans Adorable Clio,Émile-Paul.1920-1921 : Suzanne et le Pacifique,prépublicationdans La Revue de Paris.1921 :Suzanne et le Pacifique,Émile-Paul.1923 :Simon le Pathétique(2eversion ; G. Crès ; 1100 exemplaires).1924 : Promenade avec Gabrielle, « manuscrit de Jean Giraudoux » (Gallimard ; 185 exemplaires).1926 :Simon le Pathétique(3eversion ; définitive ; Grasset).1926 :Anne chez Simon(Émile-Paul ; 300 exemplaires).1932 : « Sérénade 1913 », dansLa France sentimentale,Grasset.1975 : Lettres de Jean Giraudoux (Klincksieck ; présentation et notes de J. Body).1990 : Lettres à Lilita, correspondance de Jean Giraudoux à Lilita Abreu (Gallimard ; présentation et notes de M. Berne).1990 : Versions primitives de Simon le Pathétique;édition critique de G. Teissier. Versions primitives de Suzanne et le Pacifique;édition critique de L. Gauvin. Dans Œuvres romanesques complètes, t.I, Bibliothèque de la Pléiade.***Simon le Pathétique, roman plus que tout autre remanié par Giraudoux, a connu pendant quinze années une genèse tourmentée2 : elle révèle un réseau de pratiques familières à l'auteur – dans son inspiration créatrice, dans ses stratégies éditoriales. Cette complexe élaboration a proposé aux lecteurs un ensemble variable, sorte de nébuleuse progressivement constituée autour du héros et de son aventure : aujourd'hui les commentateurs peuvent réfléchir sur les motivations de l'écrivain et les réactions des lecteurs, à l'époque des parutions comme après la publication récente de versions inédites. La pièce maîtresse de cet ensemble fictionnel est évidemment le roman dans sa forme achevée, volume clos paru chez Grasset en 1926 sous le titre de Simon le Pathétique. Mais l'« archipel » des fragments publiés, réutilisés, peut engendrer une compréhension seconde, hasardeuse, du texte central : car ces « suppléments » entretiennent avec lui un rapport plus ou moins identifiable.Certains proclament leur relation au roman, en présentant personnages, lieux et situations identiques – îlots signalés par l'auteur. D'autres, par contre, ne conservent avec Simon le Pathétique que des rapports dissimulés : seule une analyse de la genèse peut les repérer.Les îles de « l'archipel Simon »?>Publiés du vivant de Giraudoux, selon sa volonté – ces textes appartiennent à l'histoire de cette composition difficile, mais sur des modes très différenciés.a) Les prépublications : moments d'une genèseLes prépublications occupent une place sans équivoque dans l'histoire d'un texte. Précédant la version définitive, leur parution – étape avancée d'une écriture en cours – constitue une démarche classique, qui appartient au lancement publicitaire de l'œuvre.Au nombre de deux, les prépublications de Simon le Pathétique, d'étendue et d'importance différentes, sont séparées par le conflit mondial. Du 4 juillet au 1er août 1914, l'hebdomadaire L'Opinion publia en feuilleton les cinq premiers chapitres d'une (première) version, Simon : la déclaration de guerre interrompit la parution de ce roman – inachevé, sous cette forme. En 1918 la prépublication du chapitre X, qui ne présentait que quelques variantes par rapport au texte publié, eut lieu au moment même de l'édition originale du roman en librairie3.Dans l'archipel, ces prépublications, archéologie du texte, occupent une fonction de repère historique.b) Les trois versions successives : suites d'une genèseMoins prévisibles, les trois versions complètes successivement données en volume par Giraudoux se rattachent également à l'histoire de la genèse : en 1918 (originale chez Grasset), en 1923 (édition de luxe chez G. Crès) et en 1926 (version définitive chez Grasset). Toile de fond, accessible au lecteur, sur laquelle peut se situer la lecture des autres textes, fragmentaires et aléatoires.Comme les prépublications, ces trois versions permettent aujourd'hui de retracer les bouleversements d'une genèse difficile. A l'époque des parutions, elles ont amené les lecteurs à des conclusions erronées. Avec eux, les commentateurs ont pensé que ces remaniements avaient modifié progressivement la construction et le sens du roman. Il est apparu récemment que Giraudoux était au contraire revenu par étapes à son projet initial, déformé lors de la correction de l'originale.Il faut désormais repenser la stratégie de Giraudoux, présentant deux fragments, l'un inédit, l'autre publié – dans une perspective totalement inverse : reconstituant le roman original, il accréditait l'idée d'une restructuration totale, en faisant éditer, dans une curieuse postpublication un « manuscrit » apocryphe. Dans quelles intentions?c) La postpublication d'un « manuscrit » : falsification d'une genèse?L'archipel Simon présente un cas de publication fragmentaire extrêmement rare et tout à fait atypique – et par là même intrigant. Dans quelle catégorie faut-il classer Promenade avec Gabrielle, plaquette tirée en 1924 par la NRF à 185 exemplaires ? Nullement une prépublication : le texte complet était paru, et Giraudoux par les hasards de l'édition4 , avait proposé déjà deux versions différentes de l'épisode. Ce n'était pas l'édition d'un fragment éliminé, car ce passage, chapitre constitutif de la version définitive du roman figurait – à quelques variantes stylistiques près – dans le texte de l'originale publié en 19185.De plus cette publication se présentait sous la forme d'un manuscrit soigneusement rédigé et rehaussé de dessins. Pour quels effets, en rapport avec la lecture du texte définitif, Giraudoux avait-il décidé de publier le « manuscrit » de ce chapitre isolé? Manuscrit « impossible » de plus, que l'analyse génétique et les documents prouvent être une fabrication apocryphe6. Ce texte tout à fait proche de la version 1918 ne pouvait modifier de façon significative l'approche d'un lecteur de 1924 : sa publication énigmatique n'intervient guère pour une nouvelle lecture de Simon le Pathétique. Par contre son importance est primordiale dans l'histoire de la genèse, que cette plaquette « manuscrite » a pour effet de falsifier.d) Le retour des héros : achèvement d'une genèse ?La composition archipélagique utilise la technique « balzacienne » du retour des personnages : Giraudoux la pratiquera dans le cycle de Fontranges. Première apparition significative7 : un double lien mène de Simon le Pathétiqueà l'héroïne et au roman qui lui succèdent, Suzanne dans Suzanne et le Pacifique. C'est l'un des éléments les plus importants de cette organisation en archipel.Sur l'itinéraire qui mène Suzanne de Bellac à l'île du Pacifique, Simon intervient à deux moments de la fiction, à deux niveaux distincts du récit.Lien fictionnel d'abord. Dans le chapitre II, Suzanne explorant les banlieues autour de Paris, constate près d'elle la présence régulière d'un jeune homme, anonyme ; elle le perd, puis le retrouve dans un jardin public : il est en compagnie d'une jeune fille qui « appelait le jeune homme Simon et l'embrassait ». Ainsi fait de manière explicite son entrée dans cette nouvelle intrigue romanesque Simon, héros transfuge de l'œuvre précédente. Et avec lui, bientôt, « son amie Anne » : dans une situation inchangée, qui semble donc immuable, se retrouve le couple incertain de Simon le Pathétique. Anne, toujours « amie » de Simon, n'est devenue ni sa « femme » ni même sa « fiancée ». Autour d'eux s'organise cependant, sur un mode tout à fait social, la fin de cette étape parisienne du voyage de Suzanne – dans la seconde partie du chapitre II : « Anne et Simon voulurent me faire connaître un soir leurs amis voyageurs. » Cependant ils s'effacent derrière les personnages exotiques qu'ils ont suscités – Ceorelle, Toulet, Curnonsky, Marie Belliard, le duc de Sarignon. Leur image aussi bien que leur fonction reste en retrait. Ils symbolisent à nouveau, de...
La livraison, en 2 à 4 jours ouvrés, est offerte en point relais sans minimum d'achat, et à domicile à partir de 15€ en France métropolitaine.
Une question ? Besoin d'aide ?
Une réponse en moins de 24h
Elsa, Monica, Vincent et toute l'équipe Recyclivre sont à votre écoute du lundi au vendredi. Nous nous engageons à une réponse en moins de 24h les jours ouvrés.
La livraison, en 2 à 4 jours ouvrés, est offerte en point relais sans minimum d'achat, et à domicile à partir de 15€ en France métropolitaine.
Une question ? Besoin d'aide ?
Elsa, Monica, Vincent et toute l'équipe Recyclivre sont à votre écoute du lundi au vendredi. Nous nous engageons à une réponse en moins de 24h les jours ouvrés.
+3 millions de clients depuis 2008
Depuis 2008, plus de 3 millions de clients nous ont déjà fait confiance. Votre satisfaction est notre priorité.
Paiement sécurisé
Toutes vos transactions sont entièrement sécurisées grâce à Stripe, notre partenaire de paiement.
Livraison rapide et incluseLivraison rapide et incluse
Vous recevrez votre commande dans les 3 à 5 jours.
Soyez le premier à donner votre avis et aidez la communauté Recyclivre à faire son choix parmi nos milliers de livres.
Donnez votre avis sur le contenu du livre Cahiers Jean Giraudoux, n° 20. Jean Giraudoux et la problématique des genres !
Pour tout autre commentaire ou question, contactez-nous.
Vous devez être connecté pour pouvoir laisser un avis
Recevez des inspirations littéraires, nos bons plans à petit prix et nos actus pour démocratiser l’occasion 🤍
Votre e-mail servira uniquement à vous envoyer la newsletter Recyclivre et ne sera jamais communiqué à un tiers. Vous pourrez vous désabonner en un clic à tout moment.
Lors des livraisons en point relais, les émissions de CO2 sont moins importantes grâce au regroupement d'un grand nombre de colis dans un même camion pour un seul point de livraison.
Une erreur est survenue. Veuillez réessayer ultérieurement.
Avis des lecteurs Recyclivre