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Comme neuf
Idéal pour l’offrir. Couverture, dos, coins et pages intérieures peuvent avoir des défauts minimes. Jaquette d'origine présente.
Le tout sans aucune tache ou déchirure. Aucune note, marque, inscription ou annotation manuscrite.
Très bon état
Idéal pour l’offrir. Livre en excellent état comportant des petits défauts sur la couverture, dos, coins et pages intérieures.
La jaquette peut être manquante. Aucune note, marque, inscription ou annotation manuscrite sur les pages de lecture.
Il peut y avoir une dédicace ou le nom d'un précédent propriétaire sur la page de garde.
Bon état
Idéal pour le lire et le relire. Le livre doit avoir toutes ses pages.
Couverture, dos, coins et pages intérieures peuvent être endommagés (Par exemple : coins frottés, légères marques d'usure).
Il peut y avoir des passages soulignés et quelques notes en marge sans nuire à la lecture du texte. Il peut y avoir une dédicace ou le nom d'un précédent propriétaire sur la page de garde.
Les pages du livre peuvent être jaunies.
Acceptable
Idéal pour les livres que vous emmenez partout avec vous (vacances à la plage, à la montagne, etc).
Couverture, dos, coins et pages intérieures comportant des défauts visibles, souvent prononcés, ne nuisant pas à la lecture.
Il peut y avoir des passages soulignés et quelques notes en marge sans nuire à la lecture du texte.
Il peut y avoir une dédicace ou le nom d'un précédent propriétaire sur la page de garde. Les pages du livre peuvent être jaunies.
A noter : la mention Bibliothèque signifie que le livre est plastifié et
étiqueté car c’est un ancien support de bibliothèque. Nous travaillons en effet avec des bibliothèques éco-responsables qui nous
confient les livres sortis de leur inventaire plutôt que de les jeter. Plus solides, et porteurs d’une belle histoire, il n’y a aucune raison de ne pas les aimer !
Résumé
Revue de presse Une journée comme toutes les autres commence pour Taro, lycéen au caractère déjà bien affirmé, et Jiro, son frère plus renfermé. L'une de ces journées qui aurait pu se terminer sans pépin, si les deux frangins, en rentrant chez eux, n'avaient pas retrouvé la tête de leur mère à quelques mètres de son corps. Taro a à peine le temps de se remettre du choc qu'il voit son frère se faire enlever par une espèce de grosse bête ne ressemblant à rien d'identifié.Pour Taro, c'est le début d'une aventure pas comme les autres : découvrant un univers qui lui était inconnu, le voilà obligé, pour espérer retrouver Jiro, de faire la chasse aux undead, des esprits défunts restés dans notre monde pour certaines raisons, et semant le chaos. Au sein d'un organisme anti-undead, la traque peut commencer pour le jeune garçon, bientôt contraint d'abandonner ses caractéristiques de simple humain pour obtenir celles des Undead eux-mêmes en en ingurgitant un...Après Haro Asô et son très sympathique Hyde & Closer, les éditions Akata/Delcourt continuent d'explorer ces petits shônen sans prétention de jeunes auteurs en devenir et à la patte déjà bien marquée. Cette fois-ci, c'est au tour d'Undead, première série de Masashi Terajima, de débarquer, désireux de nous montrer ce qu'il a dans le ventre.Montrer ce qu'il a dans le ventre, c'est ce que Taro fera le mieux, au sens propre comme au figuré, car ce qui marque rapidement à la lecture d'Undead, c'est un style graphique qui ne fait pas dans la dentelle, notre héros, entre autres personnages, se faisant à quelques reprises joyeusement découper et charcuter sans que ça ne le tue, du fait de son ingurgitation d'un undead. Si voir parler une tête sans corps et autres bizarreries de ce genre, c'est votre trip, foncez !Pour appuyer cela, Masashi Terajima n'épargne rien : ses scènes d'action ne font pas semblant, ça se découpe dans l'allégresse et le fun, les amateurs seront ravis.En plus de ça, c'est le trait de l'auteur en lui-même qui se démarque sans mal du commun des shônen. Très stylisé, le design des personnages sent bon des inspirations telles que Jamie Hewlett, artiste multifonctions qui signe notamment tous les visuels du groupe Gorillaz. Et à vrai dire, ce n'est sans doute pas pour rien que l'une des jeunes héroïnes du manga se promène avec un t-shirt Gorillaz.Les choses se font d'autant plus impressionnantes dès que les Undead sont présents. Autant le dire tout de suite : Terajima se fait plaisir en dessinant des esprits aux looks très inventifs et dégageant une réelle impression de puissance. Cela, on le doit à un trait épais et extrêmement dense. Tout simplement, le coup de crayon de l'auteur impressionne. Pourtant, une partie du lectorat risque fort de déchanter face à un style pris à revers par ses propres qualités : si le design des Undead est très riche et ne faiblit jamais dans l'inventivité, Terajima pousse ces aspects tellement loin que les pages où apparaissent les Undead en deviennent souvent confuses, jusque dans le design des esprits eux-mêmes. En somme, on ne comprend pas toujours ce qu'on regarde, mais c'est bien dessiné.Côté narration aussi, le bât blesse un peu. Si l'on appréciera un récit qui entre très vite dans le vif du sujet et qui va à cent à l'heure, le mangaka va parfois tellement vite que des raccourcis sont pris. Le tout se suit bien, mais à quelques reprises, les scènes manquent de connexion entre elles, et l'on voit surgir des esprits parfois un peu dans tous les sens, sans qu'on ait vraiment le temps de comprendre d'où ils viennent.En ce qui concerne l'histoire, on est sur des bases on ne peut plus classiques : Taro, pour retrouver son frère, chasse les undead en compagnie de ses nouveaux collègues, qu'il découvre petit à petit. Dans ce premier tome, quelques missions, classiques mais proposant quelques petites surprises nuançant notamment les Undead, l'attendent déjà et permettent d'approfondir le petit univers de l'oeuvre, et sans chercher à renouveler quoi que ce soit, Terajima dresse déjà quelques portraits sympathiques et variés, à l'image de notre héros plutôt fonceur et volontaire, d'une attachante gamine attirant bien malgré elle les Undead, ou d'un compagnon de chasse cachant au plus profond de lui ses drames passés et ses véritables émotions. On espère juste que le schéma basé sur des missions ne rendra pas la suite répétitive, mais avec seulement quatre volume, Undead ne devrait pas souffrir de ce problème.Avec ce premier volume, Undead enchaîne les qualités et les défauts, mais impose toutefois une forte personnalité, due à un auteur qui, tout en verve, se fait plaisir. Au-delà de quelques problèmes de narration et de clarté et d'une histoire classique mais plutôt bien menée, on retient surtout un coup de crayon perfectible mais très stylisé et personnel, tout de suite reconnaissable, et ça, pour une première série, c'est déjà très bien.Du côté de l'édition, Akata/Delcourt offre un travail de bonne facture : traduction fluide, impression correcte... Mais on saluera surtout l'éditeur pour l'énorme travail sur la traduction et l'incursion des onomatopées, celles-ci faisant partie intégrante des dessins. Koiwai (Critique de www.manga-news.com )
Revue de presse Une journée comme toutes les autres commence pour Taro, lycéen au caractère déjà bien affirmé, et Jiro, son frère plus renfermé. L'une de ces journées qui aurait pu se terminer sans pépin, si les deux frangins, en rentrant chez eux, n'avaient pas retrouvé la tête de leur mère à quelques mètres de son corps. Taro a à peine le temps de se remettre du choc qu'il voit son frère se faire enlever par une espèce de grosse bête ne ressemblant à rien d'identifié.Pour Taro, c'est le début d'une aventure pas comme les autres : découvrant un univers qui lui était inconnu, le voilà obligé, pour espérer retrouver Jiro, de faire la chasse aux undead, des esprits défunts restés dans notre monde pour certaines raisons, et semant le chaos. Au sein d'un organisme anti-undead, la traque peut commencer pour le jeune garçon, bientôt contraint d'abandonner ses caractéristiques de simple humain pour obtenir celles des Undead eux-mêmes en en ingurgitant un...Après Haro Asô et son très sympathique Hyde & Closer, les éditions Akata/Delcourt continuent d'explorer ces petits shônen sans prétention de jeunes auteurs en devenir et à la patte déjà bien marquée. Cette fois-ci, c'est au tour d'Undead, première série de Masashi Terajima, de débarquer, désireux de nous montrer ce qu'il a dans le ventre.Montrer ce qu'il a dans le ventre, c'est ce que Taro fera le mieux, au sens propre comme au figuré, car ce qui marque rapidement à la lecture d'Undead, c'est un style graphique qui ne fait pas dans la dentelle, notre héros, entre autres personnages, se faisant à quelques reprises joyeusement découper et charcuter sans que ça ne le tue, du fait de son ingurgitation d'un undead. Si voir parler une tête sans corps et autres bizarreries de ce genre, c'est votre trip, foncez !Pour appuyer cela, Masashi Terajima n'épargne rien : ses scènes d'action ne font pas semblant, ça se découpe dans l'allégresse et le fun, les amateurs seront ravis.En plus de ça, c'est le trait de l'auteur en lui-même qui se démarque sans mal du commun des shônen. Très stylisé, le design des personnages sent bon des inspirations telles que Jamie Hewlett, artiste multifonctions qui signe notamment tous les visuels du groupe Gorillaz. Et à vrai dire, ce n'est sans doute pas pour rien que l'une des jeunes héroïnes du manga se promène avec un t-shirt Gorillaz.Les choses se font d'autant plus impressionnantes dès que les Undead sont présents. Autant le dire tout de suite : Terajima se fait plaisir en dessinant des esprits aux looks très inventifs et dégageant une réelle impression de puissance. Cela, on le doit à un trait épais et extrêmement dense. Tout simplement, le coup de crayon de l'auteur impressionne. Pourtant, une partie du lectorat risque fort de déchanter face à un style pris à revers par ses propres qualités : si le design des Undead est très riche et ne faiblit jamais dans l'inventivité, Terajima pousse ces aspects tellement loin que les pages où apparaissent les Undead en deviennent souvent confuses, jusque dans le design des esprits eux-mêmes. En somme, on ne comprend pas toujours ce qu'on regarde, mais c'est bien dessiné.Côté narration aussi, le bât blesse un peu. Si l'on appréciera un récit qui entre très vite dans le vif du sujet et qui va à cent à l'heure, le mangaka va parfois tellement vite que des raccourcis sont pris. 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