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Résumé
ACTE PREMIER?>Terrasse chez Francis, place de l'Alma.LE PRÉSIDENT. – Prenez place, Baron. Le garçon va nous verser mon porto spécial. Il faut que nous fêtions ce jour, qui s'annonce historique.LE BARON. – Va pour le porto.LE PRÉSIDENT. – Un cigare ? Il est à mon chiffre.LE BARON. – Un narguilé, plutôt. Je me sens dans une légende arabe. Je me sens dans un de ces matins de Bagdad où les voleurs lient connaissance, et, avant de courir la chance nouvelle, se racontent leur vie.LE PRÉSIDENT. – Pour ma part, j'y suis tout prêt. Sur la mer des aventures, il est profitable parfois de faire le point. A vous l'honneur.LE BARON. – Je m'appelle Jean-Hippolyte, baron Tommard...Un chanteur des rues s'est installé devant les consommateurs. Il chante le début de la Belle Polonaise.LE CHANTEUR, chantant :Entends-tu le signalDe l'orchestre infernal 1LE PRÉSIDENT. – Garçon, chassez cet homme !LE GARÇON. – Il chante la Belle Polonaise, Monsieur.LE PRÉSIDENT. – Je ne vous demande pas le programme ! Je vous dis de chasser cet homme.Le chanteur disparaît.LE BARON. – Je m'appelle Jean-Hippolyte, baron Tommard. Ma vie jusqu'à cinquante ans fut simple, mon activité se bornant à vendre une des propriétés léguées par ma famille pour chacune de mes amies. J'échangeais des noms de lieu contre des prénoms, les Essarts contre Mémène, la Maladrerie contre Linda, Durandière contre Daisy. A mesure que le nom de lieu était plus français, le prénom devenait plus exotique. Ma dernière ferme fut Frotteau, mon dernier prénom Anouchka. Suivit une période plus trouble, où je me vis réduit à rédiger, par l'entremise d'un libraire, les versions et les problèmes des élèves du lycée Janson. Votre fils, remarquant la ressemblance de nos écritures, me confia même le soin de mettre au propre pour lui les copies elles-mêmes. Cette assiduité à la classe que je n'avais pas eue dans mon enfance, me valut la récompense promise par la morale aux bons écoliers. Votre fils, auquel je présentai Anouchka, me présenta à vous, et, à la seule audition du nom propre, si j'ose ainsi m'exprimer, qui est le mien, vous avez jugé bon de m'offrir un fauteuil dans le conseil d'administration de la société que vous fondez aujourd'hui...LE PRÉSIDENT. – A mon tour! Je m'appelle...LA BOUQUETIÈRE. – Des violettes, Monsieur !LE PRÉSIDENT. – Filez...La bouquetière file.LE PRÉSIDENT. – Je m'appelle Emile Durachon. Ernestine Durachon, ma mère, s'est tuée à des journées pour payer ma pension de collège. Je ne l'ai jamais vue qu'accroupie et lavant. Quand dans ma mémoire je la relève, je ne reconnais même plus son visage ; c'est celui de je ne sais quelle vengeance, et qui crache sur moi. Aussi désormais je l'y laisse. Expulsé de la pension pour avoir constitué ma première société anonyme, une bibliothèque libertine que je louais à prix fort aux camarades, je m'en vins à Paris avec l'ambition de ravir leur méthode aux personnages célèbres. Je débutai mal comme chasseur du journal La Fronde, dont la directrice, l'illustre Séverine, m'employait à porter les cadavres au cimetière d'animaux d'Asnières qu'elle avait créé. Il paraît que j'ai une nature qui me fait rudoyer même les chiens morts. Je n'eus pas plus de chance comme bagagiste de Sarah Bernhardt, du jour où elle se mit à compter ses valises. Ni comme laveur du champion cycliste Jacquelin, du jour où il compta ses pneus. Mes rapports avec la gloire me laissant affamé, humilié, haillonneux, je me retournai vers ces visages inexpressifs et sans nom que j'avais remarqués postés au milieu de la foule dans un guet insensible. Ma fortune était faite. Une première face glabre, rencontrée en plein métro, me fournit l'occasion de gagner mes premiers vrais mille francs à passer de fausses pièces de cent sous. Une autre non moins glabre, mais avec tache de vin, trouvée place de l'Opéra, donna l'essor à mon talent en me confiant la direction d'une équipe de vendeurs de piles électriques truquées. J'avais compris. Et depuis, il m'a suffi de me livrer à chacun de ces masques sans vie, même secoué de tics, même agrémenté de variole, quand j'avais le bonheur de les apercevoir, pour devenir ce que vous me voyez, président de onze compagnies, membre de cinquante-deux conseils d'administration, titulaire d'autant de comptes en banque, et désigné comme directeur de la Société mondiale dont vous venez d'accepter un fauteuil.Le chiffonnier s'est approché et baissé.LE PRÉSIDENT. – Que cherchez-vous là ?LE CHIFFONNIER. – Ce que vous laissez tomber.LE PRÉSIDENT. – Je ne laisse jamais rien tomber.LE CHIFFONNIER. – Ce billet de cent francs ne vous appartient pas ?LE PRÉSIDENT. – Donnez-moi ce billet, et filez !Le chiffonnier donne, et file.LE BARON. – Vous êtes bien sûr que ce billet était à vous !LE PRÉSIDENT. – Plus qu'à lui en tout cas. Les billets de cent francs sont aux riches, et non aux pauvres. Garçon, veillez à notre paix. C'est une foire, ici 1LE BARON. – Et serait-ce une indiscrétion, Président, que demander l'objet de notre société ?LE PRÉSIDENT. – Ce n'est pas une indiscrétion ; ce n'est pas non plus un usage. Vous êtes le premier membre de conseil d'administration qui ait jamais montré cette curiosité.LE BARON. – Pardonnez-moi. Je ne l'aurai plus.LE PRÉSIDENT. – Je vous pardonne d'autant plus volontiers que j'ignore encore cet objet moi-même.LE BARON. – Vous avez les capitaux ?LE PRÉSIDENT. – J'ai un démarcheur coulissier. Nous l'attendons.LE BARON. – Vous disposez d'un produit, d'un gisement ?LE PRÉSIDENT. – Cher Baron, apprenez qu'à sa naissance une société n'a pas besoin d'un objet, mais d'un titre. Nous autres, gentilshommes d'affaires, n'avons jamais infligé à nos souscripteurs cet affront de penser qu'en souscrivant ils entendaient réaliser une opération mercantile et non s'accorder un champ d'imagination. C'est leur imagination seule que nous avons l'ambition de servir, et nous ne commettons pas l'erreur des romanciers, qui se croient tenus, quand ils ont leur titre, d'écrire en supplément le roman lui-même.LE BARON. – Et quel est le titre d'aujourd'hui ?LE PRÉSIDENT. – Je l'ignore encore. Si vous me voyez nerveux, c'est que mon inspiration aujourd'hui est en retard... Tenez ! Regardez ! En voici une. Jamais je n'en ai vu de plus prometteuse !LE BARON. – Une femme ? Où voyez-vous des femmes ?LE PRÉSIDENT. – Une face. Une de ces faces dont je parlais. Cet homme assis à notre gauche, qui boit de l'eau.LE BARON. – Prometteuse ! On dirait une borne !LE PRÉSIDENT. – Vous l'avez dit. Une des bornes de la ruse humaine, de l'avidité, de l'obstination humaine. Elles sont plantées le long de toutes les routes du jeu, de l'acier, de la luxure, du phosphate. Elles jalonnent la réussite, le crime, le bagne et le pouvoir. Voyez... Il nous a déjà aperçus. Et compris. Il va venir.LE BARON. – Vous n'allez pas lui dire nos secrets ?LE PRÉSIDENT. – Cher Baron, je n'ai jamais accordé une confidence à ma femme, à ma fille. Mes amis les plus intimes, mes secrétaires, ont toujours tout ignoré de mes secrets. Et des plus anodins. Ma première dactylo ignore mon vrai domicile. Mais mon principe est de tout dire à ces inconnus que m'offre le hasard, quand ils me donnent cette sécurité de leur tête sans vie. Aucun ne m'a jamais trahi. Ces lèvres torves, ces yeux fuyants, sont dans notre cercle de travail les garants de la loyauté, de notre loyauté. Lui aussi d'ailleurs m'a reconnu. Lui non plus n'hésitera pas à me tout révéler. Les signes auxquels se retrouvent les adeptes des sociétés et des mœurs spéciales sont puérils à côté de ce qui nous révèle les uns aux autres, nous, hommes de fortune. Une matité et un reflet de mort sur le visage. Il l'a vu sur le mien. Il sera là dans un instant...
ACTE PREMIER?>Terrasse chez Francis, place de l'Alma.LE PRÉSIDENT. – Prenez place, Baron. Le garçon va nous verser mon porto spécial. Il faut que nous fêtions ce jour, qui s'annonce historique.LE BARON. – Va pour le porto.LE PRÉSIDENT. – Un cigare ? Il est à mon chiffre.LE BARON. – Un narguilé, plutôt. Je me sens dans une légende arabe. Je me sens dans un de ces matins de Bagdad où les voleurs lient connaissance, et, avant de courir la chance nouvelle, se racontent leur vie.LE PRÉSIDENT. – Pour ma part, j'y suis tout prêt. Sur la mer des aventures, il est profitable parfois de faire le point. A vous l'honneur.LE BARON. – Je m'appelle Jean-Hippolyte, baron Tommard...Un chanteur des rues s'est installé devant les consommateurs. Il chante le début de la Belle Polonaise.LE CHANTEUR, chantant :Entends-tu le signalDe l'orchestre infernal 1LE PRÉSIDENT. – Garçon, chassez cet homme !LE GARÇON. – Il chante la Belle Polonaise, Monsieur.LE PRÉSIDENT. – Je ne vous demande pas le programme ! Je vous dis de chasser cet homme.Le chanteur disparaît.LE BARON. – Je m'appelle Jean-Hippolyte, baron Tommard. Ma vie jusqu'à cinquante ans fut simple, mon activité se bornant à vendre une des propriétés léguées par ma famille pour chacune de mes amies. J'échangeais des noms de lieu contre des prénoms, les Essarts contre Mémène, la Maladrerie contre Linda, Durandière contre Daisy. A mesure que le nom de lieu était plus français, le prénom devenait plus exotique. Ma dernière ferme fut Frotteau, mon dernier prénom Anouchka. Suivit une période plus trouble, où je me vis réduit à rédiger, par l'entremise d'un libraire, les versions et les problèmes des élèves du lycée Janson. Votre fils, remarquant la ressemblance de nos écritures, me confia même le soin de mettre au propre pour lui les copies elles-mêmes. Cette assiduité à la classe que je n'avais pas eue dans mon enfance, me valut la récompense promise par la morale aux bons écoliers. Votre fils, auquel je présentai Anouchka, me présenta à vous, et, à la seule audition du nom propre, si j'ose ainsi m'exprimer, qui est le mien, vous avez jugé bon de m'offrir un fauteuil dans le conseil d'administration de la société que vous fondez aujourd'hui...LE PRÉSIDENT. – A mon tour! Je m'appelle...LA BOUQUETIÈRE. – Des violettes, Monsieur !LE PRÉSIDENT. – Filez...La bouquetière file.LE PRÉSIDENT. – Je m'appelle Emile Durachon. Ernestine Durachon, ma mère, s'est tuée à des journées pour payer ma pension de collège. Je ne l'ai jamais vue qu'accroupie et lavant. Quand dans ma mémoire je la relève, je ne reconnais même plus son visage ; c'est celui de je ne sais quelle vengeance, et qui crache sur moi. Aussi désormais je l'y laisse. Expulsé de la pension pour avoir constitué ma première société anonyme, une bibliothèque libertine que je louais à prix fort aux camarades, je m'en vins à Paris avec l'ambition de ravir leur méthode aux personnages célèbres. Je débutai mal comme chasseur du journal La Fronde, dont la directrice, l'illustre Séverine, m'employait à porter les cadavres au cimetière d'animaux d'Asnières qu'elle avait créé. Il paraît que j'ai une nature qui me fait rudoyer même les chiens morts. Je n'eus pas plus de chance comme bagagiste de Sarah Bernhardt, du jour où elle se mit à compter ses valises. Ni comme laveur du champion cycliste Jacquelin, du jour où il compta ses pneus. Mes rapports avec la gloire me laissant affamé, humilié, haillonneux, je me retournai vers ces visages inexpressifs et sans nom que j'avais remarqués postés au milieu de la foule dans un guet insensible. Ma fortune était faite. Une première face glabre, rencontrée en plein métro, me fournit l'occasion de gagner mes premiers vrais mille francs à passer de fausses pièces de cent sous. Une autre non moins glabre, mais avec tache de vin, trouvée place de l'Opéra, donna l'essor à mon talent en me confiant la direction d'une équipe de vendeurs de piles électriques truquées. J'avais compris. Et depuis, il m'a suffi de me livrer à chacun de ces masques sans vie, même secoué de tics, même agrémenté de variole, quand j'avais le bonheur de les apercevoir, pour devenir ce que vous me voyez, président de onze compagnies, membre de cinquante-deux conseils d'administration, titulaire d'autant de comptes en banque, et désigné comme directeur de la Société mondiale dont vous venez d'accepter un fauteuil.Le chiffonnier s'est approché et baissé.LE PRÉSIDENT. – Que cherchez-vous là ?LE CHIFFONNIER. – Ce que vous laissez tomber.LE PRÉSIDENT. – Je ne laisse jamais rien tomber.LE CHIFFONNIER. – Ce billet de cent francs ne vous appartient pas ?LE PRÉSIDENT. – Donnez-moi ce billet, et filez !Le chiffonnier donne, et file.LE BARON. – Vous êtes bien sûr que ce billet était à vous !LE PRÉSIDENT. – Plus qu'à lui en tout cas. Les billets de cent francs sont aux riches, et non aux pauvres. Garçon, veillez à notre paix. C'est une foire, ici 1LE BARON. – Et serait-ce une indiscrétion, Président, que demander l'objet de notre société ?LE PRÉSIDENT. – Ce n'est pas une indiscrétion ; ce n'est pas non plus un usage. Vous êtes le premier membre de conseil d'administration qui ait jamais montré cette curiosité.LE BARON. – Pardonnez-moi. Je ne l'aurai plus.LE PRÉSIDENT. – Je vous pardonne d'autant plus volontiers que j'ignore encore cet objet moi-même.LE BARON. – Vous avez les capitaux ?LE PRÉSIDENT. – J'ai un démarcheur coulissier. Nous l'attendons.LE BARON. – Vous disposez d'un produit, d'un gisement ?LE PRÉSIDENT. – Cher Baron, apprenez qu'à sa naissance une société n'a pas besoin d'un objet, mais d'un titre. Nous autres, gentilshommes d'affaires, n'avons jamais infligé à nos souscripteurs cet affront de penser qu'en souscrivant ils entendaient réaliser une opération mercantile et non s'accorder un champ d'imagination. C'est leur imagination seule que nous avons l'ambition de servir, et nous ne commettons pas l'erreur des romanciers, qui se croient tenus, quand ils ont leur titre, d'écrire en supplément le roman lui-même.LE BARON. – Et quel est le titre d'aujourd'hui ?LE PRÉSIDENT. – Je l'ignore encore. Si vous me voyez nerveux, c'est que mon inspiration aujourd'hui est en retard... Tenez ! Regardez ! En voici une. Jamais je n'en ai vu de plus prometteuse !LE BARON. – Une femme ? Où voyez-vous des femmes ?LE PRÉSIDENT. – Une face. Une de ces faces dont je parlais. Cet homme assis à notre gauche, qui boit de l'eau.LE BARON. – Prometteuse ! On dirait une borne !LE PRÉSIDENT. – Vous l'avez dit. Une des bornes de la ruse humaine, de l'avidité, de l'obstination humaine. Elles sont plantées le long de toutes les routes du jeu, de l'acier, de la luxure, du phosphate. Elles jalonnent la réussite, le crime, le bagne et le pouvoir. Voyez... Il nous a déjà aperçus. Et compris. 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