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Résumé
ORGANIGRAMME DU COMMISSARIAT GÉNÉRAL À L'INFORMATION?>003004?>CHRONOLOGIE?>005006007008009010* A cette date seront écrits les textes suivants : « Privas » (juillet 1940, Or dans la nuit) ;« Tombeau de Henri Lavedan » (Alcobaça, 1940), « Tombeau de Édouard Vuillard » (La Chaise-Dieu, 1940) et « la France et son héros » (Cusset, 31 décembre 1940) recueillis dans Littérature ; Portugal et Combat avec l'image. En outre, la pièce Sodome et Gomorrhe aura été remise sur le chantier (seconde version, où apparaît le Prélude).En conclusion à cette chronologie, cette phrase de la préface de Littérature, datée du 20 mars 1941, montre bien le repli sur l'expression littéraire : « Notre littérature n'est pas nos Champs-Elysées ; elle est le domaine intangible, incorruptible, agissant, de notre valeur véritable et de l'aventure française en ce monde. »Maurice BARTHÉLEMY.?>MESSAGES DU CONTINENTAL (1939-1940)?>Le texte des Messages du Continental a été conservé grâce à la diligence deM. Jacques BODY.Responsable de l'édition : Alain DUNEAUNotes rédigées par MM. Maurice BARTHÉLEMY, Jean-Noël DELÉTANG,Alain DUNEAU, Michel POTET, Jacques ROBICHEZ, et Mlle Colette WEIL(avec la collaboration de MM. Jacques BODY et Reimund HAAS).A différentes reprises j'ai été amené, au cours des huit mois où j'ai assuré, à l'hôtel Continental, la direction du commissariat général à l'Information, à parler par la radiodiffusion aux Français et aux Françaises. Ce sont les textes de ces messages que ce livre réunit aujourd'hui. Leur lecture non seulement indiquera quels ont été les principes de la propagande française pendant cette époque, mais témoignera de l'obstination avec laquelle mes collaborateurs et moi avons toujours estimé que les problèmes français devaient chercher leur solution, non dans des conceptions mystiques ou politiques, mais dans l'imagination et l'audace pratique de l'État. Nous l'estimons encore. A l'équipe officielle a succédé une équipe de volontaires. Elle est à l'œuvre1.J. G.?>PREMIER MESSAGE?>(4 septembre 1939)Français, Françaises, c'est le Commissaire général à l'Information qui vous parle. C'est lui qui aura, dans les jours et les semaines qui vont suivre, la mission de vous tenir au courant des phases de la lutte dans laquelle la France est maintenant engagée. Sa tâche, évidemment, n'est pas facile. Quelle que soit l'ardeur de votre attente, son désir de vous renseigner, il ne pourra vous donner sur les événements stratégiques que les informations qui ne risquent pas d'être un avertissement ou une indication pour l'ennemi. Dans cette période de préparation, où, je puis vous l'assurer, rien ne s'est passé encore sur nos frontières, il est naturel qu'il ne vous donne pas encore de détails sur la concentration des armées ou le parachèvement d'une mobilisation que le généralissime a déclarée lui-même impeccable2. Mais il considère qu'une confiance 3 sans limite est due au peuple qui a compris à ce point que le monde civilisé poussait son dernier appel et qui y a répondu avec une abnégation aussi totale. Nous serons donc, avec vous, simples et francs. Quand il y aura quelque chose à vous dire, nous vous le dirons, nous vous l'expliquerons, excepté si c'était au préjudice de la France. N'envisagez jamais derrière des silences qui peuvent avoir pour cause, par exemple, des perturbations d'appareils ou le retard des nouvelles, la volonté de couper le contact entre vous et la vérité, c'est-à-dire entre vous et ceux qui vont combattre4. Si nous ne vous parlons pas de l'Italie, c'est que nous n'avons rien à dire de l'Italie. Si nous ne vous parlons pas de l'armée anglaise, c'est qu'elle est, comme la nôtre, dans le stade de mobilisation qui ne comporte pas de commentaires et dont est déjà sortie, comme vous l'avez vu, la marine anglaise. Peut-être les premiers communiqués de la guerre vous ont-ils paru un peu courts, un peu ternes. Comparez-les, pour avoir leur vraie valeur, aux premiers communiqués de 1914. Ils ne sont pas ceux d'une nation surprise en plein travail de paix5, à la veille d'une invasion inévitable, mais ceux d'un peuple qui dispose déjà de tout ce que comportent la défense et l'attaque, dont aucun point des frontières ne peut être violé et qui peut être économe en paroles. Nous reprenons la guerre à ce moment où l'union de l'Angleterre et de la France était totale, leurs forces engagées dans une collaboration sans réticences, leur moral à son comble, en face d'un adversaire certes gigantesque, mais auquel la conscience démoniaque de ses agissements ne peut prêter que des armes frénétiques, c'est-à-dire, n'en croyons que l'Histoire, vouées à la défaite6. Nous vous demandons de voir tous les communiqués de ces jours d'attente sous cette lumière... Merci... A bientôt.1 Ces deux dernières phrases sont supprimées sur épreuve (correction manuscrite, auteur non identifié).2 Il s'agit du général Gamelin. A l'audition du message (à la Phonothèque nationale, voir « Liste des enregistrements » plus bas), on note que Giraudoux ajoute un mot qui dégage plus nettement sa responsabilité à l'égard de cette affirmation : « que le généralissime lui a déclarée lui-même impeccable », dit Giraudoux.3 « Mais il considère que la confiance est due » (correction manuscrite sur épreuve, auteur non identifié).4 Cette définition de la « vérité » en temps de guerre montre que Giraudoux ne conçoit que comme total cet engagement au service du « monde civilisé » qui pousse « son dernier appel ».5 « En plein travail de paix, mais ceux d'un peuple qui (...) la défense et l'attaque, et qui peut être économe en paroles » (suppression manuscrite sur épreuve, auteur non identifié).6 Nulle contradiction dans l'esprit de Giraudoux, semble-t-il, entre l'appel à la responsabilité personnelle et la conscience de la validité intemporelle des grandes lois de l'Histoire : Hitler sera vaincu.Alain DUNEAU.?>SUR LA POLOGNE?>(8 septembre 1939)Français et Françaises qui m'écoutez, je reprends notre entretien. Je crois utile de vous donner sur la guerre de Pologne les indications qui vous permettront de suivre, sans confusion et aussi sans trop de pessimisme, les opérations qui se déroulent sur le sol de notre alliée.Je pense que ce qui vous a le plus frappé, dans la lecture des journaux, c'est la rapidité avec laquelle les Allemands ont envahi la région frontière1. Ils ont occupé le couloir, ils ont pris Poznan, Katowice ; ils annoncent aujourd'hui la prise de Cracovie, où leurs généraux seraient allés saluer la dépouille du maréchal Pilsudski2, devant un tombeau dont je peux leur assurer que son esprit est présentement évadé.Mais je ne porterai aucune atteinte à la vérité, en vous disant ce soir que cette rapidité de leur avance n'était pas imprévisible.Elle résulte des conditions mêmes dans lesquelles la lutte s'est engagée. La préparation non pas militaire, mais stratégique, était inégale entre les deux adversaires. La Pologne, le jour de l'agression allemande, venait à peine d'ordonner sa mobilisation. L'Allemagne, pendant les cinq jours où nos chancelleries croyaient encore héberger la paix, alors que la guerre était déjà l'hôte officielle de Berlin, s'occupait seulement, sous le voile de ses prétendues démarches, à amener une armée allemande en pleine puissance et en plein élan d'attaque au contact d'une armée polonaise évidemment en alerte, mais dont les chefs, justement pour ne pas donner le moindre prétexte à la mauvaise foi, réservaient encore l'ordonnance finale.Devant l'agression brusquée, le commandement polonais s'est donc trouvé devant deux solutions. La première, solution de prudence, lui demandait d'éviter tout engagement décisif, de dégager l'armée polonaise de toute menace d'étreinte et de l'amener sur les positions de repli où sa concentration permettrait d'installer un front définitif. Il y a déjà eu pour justifier pareille décision, non seulement une bataille de la Marne, mais une bataille de la Vistule. La seconde consistait, au contraire, à s'opposer, dans l'heure même et sur toute la ligne frontière à l'envahisseur. Pour celui qui sait que cette frontière a plus de quinze cents kilomètres, qu'elle est à tous égards défectueuse, qu'elle ne présente aucune région...
ORGANIGRAMME DU COMMISSARIAT GÉNÉRAL À L'INFORMATION?>003004?>CHRONOLOGIE?>005006007008009010* A cette date seront écrits les textes suivants : « Privas » (juillet 1940, Or dans la nuit) ;« Tombeau de Henri Lavedan » (Alcobaça, 1940), « Tombeau de Édouard Vuillard » (La Chaise-Dieu, 1940) et « la France et son héros » (Cusset, 31 décembre 1940) recueillis dans Littérature ; Portugal et Combat avec l'image. En outre, la pièce Sodome et Gomorrhe aura été remise sur le chantier (seconde version, où apparaît le Prélude).En conclusion à cette chronologie, cette phrase de la préface de Littérature, datée du 20 mars 1941, montre bien le repli sur l'expression littéraire : « Notre littérature n'est pas nos Champs-Elysées ; elle est le domaine intangible, incorruptible, agissant, de notre valeur véritable et de l'aventure française en ce monde. »Maurice BARTHÉLEMY.?>MESSAGES DU CONTINENTAL (1939-1940)?>Le texte des Messages du Continental a été conservé grâce à la diligence deM. Jacques BODY.Responsable de l'édition : Alain DUNEAUNotes rédigées par MM. Maurice BARTHÉLEMY, Jean-Noël DELÉTANG,Alain DUNEAU, Michel POTET, Jacques ROBICHEZ, et Mlle Colette WEIL(avec la collaboration de MM. Jacques BODY et Reimund HAAS).A différentes reprises j'ai été amené, au cours des huit mois où j'ai assuré, à l'hôtel Continental, la direction du commissariat général à l'Information, à parler par la radiodiffusion aux Français et aux Françaises. Ce sont les textes de ces messages que ce livre réunit aujourd'hui. Leur lecture non seulement indiquera quels ont été les principes de la propagande française pendant cette époque, mais témoignera de l'obstination avec laquelle mes collaborateurs et moi avons toujours estimé que les problèmes français devaient chercher leur solution, non dans des conceptions mystiques ou politiques, mais dans l'imagination et l'audace pratique de l'État. Nous l'estimons encore. A l'équipe officielle a succédé une équipe de volontaires. Elle est à l'œuvre1.J. G.?>PREMIER MESSAGE?>(4 septembre 1939)Français, Françaises, c'est le Commissaire général à l'Information qui vous parle. C'est lui qui aura, dans les jours et les semaines qui vont suivre, la mission de vous tenir au courant des phases de la lutte dans laquelle la France est maintenant engagée. Sa tâche, évidemment, n'est pas facile. Quelle que soit l'ardeur de votre attente, son désir de vous renseigner, il ne pourra vous donner sur les événements stratégiques que les informations qui ne risquent pas d'être un avertissement ou une indication pour l'ennemi. Dans cette période de préparation, où, je puis vous l'assurer, rien ne s'est passé encore sur nos frontières, il est naturel qu'il ne vous donne pas encore de détails sur la concentration des armées ou le parachèvement d'une mobilisation que le généralissime a déclarée lui-même impeccable2. Mais il considère qu'une confiance 3 sans limite est due au peuple qui a compris à ce point que le monde civilisé poussait son dernier appel et qui y a répondu avec une abnégation aussi totale. Nous serons donc, avec vous, simples et francs. Quand il y aura quelque chose à vous dire, nous vous le dirons, nous vous l'expliquerons, excepté si c'était au préjudice de la France. N'envisagez jamais derrière des silences qui peuvent avoir pour cause, par exemple, des perturbations d'appareils ou le retard des nouvelles, la volonté de couper le contact entre vous et la vérité, c'est-à-dire entre vous et ceux qui vont combattre4. Si nous ne vous parlons pas de l'Italie, c'est que nous n'avons rien à dire de l'Italie. Si nous ne vous parlons pas de l'armée anglaise, c'est qu'elle est, comme la nôtre, dans le stade de mobilisation qui ne comporte pas de commentaires et dont est déjà sortie, comme vous l'avez vu, la marine anglaise. Peut-être les premiers communiqués de la guerre vous ont-ils paru un peu courts, un peu ternes. Comparez-les, pour avoir leur vraie valeur, aux premiers communiqués de 1914. Ils ne sont pas ceux d'une nation surprise en plein travail de paix5, à la veille d'une invasion inévitable, mais ceux d'un peuple qui dispose déjà de tout ce que comportent la défense et l'attaque, dont aucun point des frontières ne peut être violé et qui peut être économe en paroles. Nous reprenons la guerre à ce moment où l'union de l'Angleterre et de la France était totale, leurs forces engagées dans une collaboration sans réticences, leur moral à son comble, en face d'un adversaire certes gigantesque, mais auquel la conscience démoniaque de ses agissements ne peut prêter que des armes frénétiques, c'est-à-dire, n'en croyons que l'Histoire, vouées à la défaite6. Nous vous demandons de voir tous les communiqués de ces jours d'attente sous cette lumière... Merci... A bientôt.1 Ces deux dernières phrases sont supprimées sur épreuve (correction manuscrite, auteur non identifié).2 Il s'agit du général Gamelin. A l'audition du message (à la Phonothèque nationale, voir « Liste des enregistrements » plus bas), on note que Giraudoux ajoute un mot qui dégage plus nettement sa responsabilité à l'égard de cette affirmation : « que le généralissime lui a déclarée lui-même impeccable », dit Giraudoux.3 « Mais il considère que la confiance est due » (correction manuscrite sur épreuve, auteur non identifié).4 Cette définition de la « vérité » en temps de guerre montre que Giraudoux ne conçoit que comme total cet engagement au service du « monde civilisé » qui pousse « son dernier appel ».5 « En plein travail de paix, mais ceux d'un peuple qui (...) la défense et l'attaque, et qui peut être économe en paroles » (suppression manuscrite sur épreuve, auteur non identifié).6 Nulle contradiction dans l'esprit de Giraudoux, semble-t-il, entre l'appel à la responsabilité personnelle et la conscience de la validité intemporelle des grandes lois de l'Histoire : Hitler sera vaincu.Alain DUNEAU.?>SUR LA POLOGNE?>(8 septembre 1939)Français et Françaises qui m'écoutez, je reprends notre entretien. Je crois utile de vous donner sur la guerre de Pologne les indications qui vous permettront de suivre, sans confusion et aussi sans trop de pessimisme, les opérations qui se déroulent sur le sol de notre alliée.Je pense que ce qui vous a le plus frappé, dans la lecture des journaux, c'est la rapidité avec laquelle les Allemands ont envahi la région frontière1. Ils ont occupé le couloir, ils ont pris Poznan, Katowice ; ils annoncent aujourd'hui la prise de Cracovie, où leurs généraux seraient allés saluer la dépouille du maréchal Pilsudski2, devant un tombeau dont je peux leur assurer que son esprit est présentement évadé.Mais je ne porterai aucune atteinte à la vérité, en vous disant ce soir que cette rapidité de leur avance n'était pas imprévisible.Elle résulte des conditions mêmes dans lesquelles la lutte s'est engagée. La préparation non pas militaire, mais stratégique, était inégale entre les deux adversaires. La Pologne, le jour de l'agression allemande, venait à peine d'ordonner sa mobilisation. L'Allemagne, pendant les cinq jours où nos chancelleries croyaient encore héberger la paix, alors que la guerre était déjà l'hôte officielle de Berlin, s'occupait seulement, sous le voile de ses prétendues démarches, à amener une armée allemande en pleine puissance et en plein élan d'attaque au contact d'une armée polonaise évidemment en alerte, mais dont les chefs, justement pour ne pas donner le moindre prétexte à la mauvaise foi, réservaient encore l'ordonnance finale.Devant l'agression brusquée, le commandement polonais s'est donc trouvé devant deux solutions. La première, solution de prudence, lui demandait d'éviter tout engagement décisif, de dégager l'armée polonaise de toute menace d'étreinte et de l'amener sur les positions de repli où sa concentration permettrait d'installer un front définitif. 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